N’avez-vous pas le sentiment que la plupart de vos buts ou de vos rêves ne se sont jamais réalisés ?
Tant que vos buts ou vos rêves restent dans votre tête, rien ne se passe. Sans énergie, sans force en mouvement, cela reste à l’état de rêve.

S’il n’ y a pas d’actions posées pour créer un effet propulseur, rien ne se passera. Les années vont défiler, vos rêves vont disparaître et cette disparition créera une mauvaise image de vous-même, affaiblira votre estime personnelle et vous n’aurez plus l’envie ni la force de réaliser le moindre petit rêve.

Voici le troisième article d’une série de 4 articles.

Dans l’avant-dernier article, j’ai abordé la façon de faire un bilan holistique, dans le précédent, la façon de préparer ses buts annuels et aujourd’hui je vous présente le procédé de consolidation de vos objectifs qui vous permettront d’atteindre vos buts de vie.

Une petite histoire pour comprendre ce qu’est un but et un objectif

J’aime faire référence au maître bouddhiste Ajan Chah dont le monastère attirait  de nombreuses personnes en quête de Vérité. Quand ces personnes arrivaient auprès d’Ajan Chah, il leur demandait à chacune :

• Qu’es-tu venu faire ici ? Le futur disciple répondait :
• Connaître la vérité ! Ajan Chah l’interrogeait alors :
• Très bien ! Est-ce que tu l’as découverte ?
• Non pas encore ! répondait le disciple.

Par cette question, le maître mettait en évidence le fait que tout le voyage effectué par le disciple qui avait traversé forêts et montagnes, l’avait mené à lui sans qu’il n’ait trouvé de réponse, que ce voyage n’était donc que le début du chemin pour atteindre son véritable but.

Quels que soient les buts que vous allez décidé d’atteindre, ce ne seront pas des finalités mais des points de départs pour continuer à cheminer, c’ est ce que nous nommons en anglais : des checkpoints.

1. Marquez vos objectifs de façons spontanés.

La première des choses est d’écrire sur votre cahier de buts, tous ceux que vous souhaitez réaliser puis de noter spontanément pour chacun d’eux, tous les objectifs qui vous permettront d’atteindre vos buts.

Revenons au but des disciples qui souhaitaient atteindre le monastère d’Ajan Chah. De nombreux paramètres pouvaient venir contrecarrer leur projet. Il pouvait pleuvoir abondamment, il pouvait y avoir des tremblements de terre, des animaux qui venaient les attaquer, ils pouvaient tomber malades…
Il y avait de nombreux paramètres en dehors de leur contrôle, auxquels ils devaient faire face à tout moment ! Il en est de même pour nous !

Il y a de nombreux éléments extérieurs, sur lesquels nous n’avons aucun contrôle, qui peuvent venir perturber nos projets ! Et c’est bien ainsi ! C’est le Miracle de la Vie !

Ces futurs disciples pouvaient prévoir malgré tout, certains objectifs comme le chemin qu’ils allaient prendre, l’heure à laquelle heure ils allaient se lever, le nombre d’heures qu’ils voulaient marcher, les provisions qu’ils souhaitaient emporter… Vous aussi, avez le choix de vos objectifs.

2. Regroupez les objectifs en catégories.

Je vous invite ensuite, à écrire tous vos objectifs spontanément, sous forme de brainstorming puis à les regrouper en deux ou trois catégories pour les mémoriser plus facilement.

Comme par exemple, regrouper tout ce qui concerne le marketing de votre entreprise (si vous en avez une !) :

• employer un directeur marketing,
• communiquer sur les réseaux sociaux,
• communiquer sur les journaux locaux.

3. Déléguez et contrôlez.

Une fois que vous avez classé vos objectifs par catégorie, regardez ceux que vous pouvez déléguer et déléguez au maximum ! Plus vous allez déléguer, plus vous aurez du temps et plus vous pourrez faire de choses.

4. Notez des dates de réalisation pour chacun de vos objectifs.

Une fois que tous vos buts et objectifs seront clairement définis, vous n’aurez plus qu’à les mettre dans votre calendrier.
Vous allez pouvoir écrire pour chacun d’entre eux, les dates auxquelles vous souhaitez qu’ils soient atteints.
Pensez aussi à mettre dans votre calendrier les dates concernant le suivi des objectifs délégués!
C’est en vous disciplinant, en vous faisant pression quotidiennement que vous pourrez atteindre vos buts de vie.

Vous n’aurez aucun problème à vous mettre jour après jour dans l’action, si vous avez veillé à relier vos buts annuels à vos zones de vie et à votre But de Vie principal !

5. Divisez tous vos objectifs en très petits objectifs.

Je vous invite à découper chacun de vos objectifs en tout petits objectifs (à la journée ou sur 6 heures…) car plus ils seront petits, plus vous pourrez les réaliser, plus vous constaterez que ca progresse, plus cela boostera l’estime de vous. Si vous vous donnez de trop gros objectifs, vous risquez de vous épuiser en cours de route.

6. Réajustez si nécessaire.

Ajustez quand cela ne va pas et rappelez-vous toujours votre But de Vie principal !
Si vous faites des bilans hebdomadaires et que vous réajustez les semaines suivantes ce qui a besoin d’être réajusté, vous allez pouvoir traquer toutes les petits retards ou déviations et veiller à suivre votre direction vers votre But de Vie principal.

Pour résumer :

1. Marquez vos objectifs de façons spontanés.
2. Regroupez les objectifs en catégories.
3. Déléguez et contrôlez.
4. Notez des dates de réalisation pour chacun de vos objectifs.
5. Divisez tous vos objectifs en très petits objectifs.
6. Réajustez si nécessaire.

Mais surtout : passez à l’action !
Et si vous ne réalisez que 90, 80 ou 50 % de vos objectifs, ce sera parfait !
Car la vie peut venir ralentir vos projets (maladie, accident, tremblements de terre, coupure d’électricité…) Si vous vivez des imprévus, réajustez la semaine suivante ou le mois d’après…

Soyez sans cesse relié à votre But de Vie car ceci est un absolu pour vous !

C’est le dernier article de cette année et je vous souhaite un Joyeux Noël et une belle fête de fin d’année ! Fêtez ça bien, pas trop non plus ! Restez malgré tout conscient de vous-même !

Dans le prochain article, nous verrons comment s’engager à atteindre nos objectifs de façon durable.

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Citations en relation à l’article

L’article Consolider ses objectifs pour réaliser son but est apparu en premier sur Blog de Soul in a Mind.

Nous savons tous que dans la vie, tout est fait de 80% de psychologie pour 20 % de mécanique. Quand nous comprenons ce principe fondamental, nous réalisons bien que si nous changeons notre façon de penser, notre état d’esprit ou encore notre « mindset », nous transformerons les  résultats de nos actions.

Si vous avez toujours le même état d’esprit depuis, 10 ans, 20 ans, vous aurez toujours les mêmes résultats.
Si vous commencez à changer votre façon de penser, d’analyser, votre façon d’appréhender

les choses, votre manière de les mettre en place, ce qui signifie changer votre état d’esprit, vous allez automatiquement observer des résultats différents. Si vous changez de stratégie, vous aurez de nouveaux résultats. Seulement en terme de croissance, individuelle, spirituelle, de croissance holistique, modifier uniquement son état d’esprit ne sera pas suffisant.

Il y a 3 états dont on oublie souvent de parler qui permettent d’ élever la totalité de l’être que vous êtes et c’est de ces 4 états dont je souhaite vous parler aujourd’hui.

Le premier état est « l’état d’esprit »
Chacun sait que l’état d’esprit est primordial pour démarrer un projet, mettre quelque chose de nouveau en place. Comment procédez-vous pour changer votre état d’esprit et aller vers le nouveau ? Comment vous analysez-vous ? Quel regard portez vous sur vos actions antérieures et la réalisation de vos projets passés ? Etes-vous capables d’envisager de modifier certaines de vos actions pour obtenir de meilleurs ou de nouveaux résultats ?

La plupart des coachs et des formateurs ont à cœur d’amener leurs élèves à un changement d’état d’esprit pour qu’ils puissent grandir intérieurement.

Changer d’état d’esprit permet à chacun de se mettre en action, d’obtenir même des changements conséquents mais cela n’est pas suffisant car tôt ou tard, nos déviances intérieures risquent de revenir, notre foi pourra être sérieusement ébranlée car il nous manque 3 états à stimuler quotidiennement pour tenir sur du long terme jusqu’à l’aboutissement réel de nos projets.

Le 2^ième état  est « l’état de cœur »
L’état de cœur, c’est faire les choses avec plaisir, passion, joie et  avec tout son cœur !!
Si vous ne vivez pas cet état de cœur dans chacune de vos réalisations, sur la durée, vous n’obtiendrez pas les résultats espérés. C’est pour cela que beaucoup d’entre vous se lancent dans de nouveaux projets comme se mettre à méditer ou à faire des rituels du matin, arrivent à se discipliner un mois, deux mois, trois mois et puis  lâchent tout ! Pourquoi ? Parce que malgré leur volonté et leur nouvel état d’esprit, ils n’ont pas mis assez de joie, de  passion, d’amour dans chacune de leurs actions…Cet état de cœur est tout aussi  indispensable que l’état d’esprit pour atteindre vos objectifs mais à eux deux, ils ne sont pas suffisants.

A ces deux états vient s’ajouter l’état de santé qui est tout aussi nécessaire.

Le troisième état est « l’état de santé »
Votre état de santé, c’est votre état physique. La façon dont vous allez vous comporter physiquement va influencer vos émotions. Si vous êtes renfermé, si vous ne souriez jamais, vous allez ressentir des émotions désagréables, de la tristesse, une sensation de faiblesse voir même d’impuissance .Alors que si vous avez le corps et le visage ouverts, si vous portez votre regard vers l’horizon, si vous êtes ancré que vous soyez assis ou debout, vous aurez une présence particulière qui rayonnera, vous serez présent à ce que vous faites et goûterez à votre puissance.

En ayant un bon état d’esprit, en faisant les choses avec le cœur, en étant bien ancré dans votre corps (aligné cœur, corps, esprit), vos réalisations prendront déjà une autre dimension.

L’état de santé concerne aussi votre façon de bouger et de manger.

Mangez-vous sainement, de façon équilibrée ou êtes-vous un adepte du fast-food et vous nourrissez-vous essentiellement de hamburgers et de frites ? En mangeant régulièrement de nombreux légumes et fruits, en réduisant considérablement votre consommation de viande, en buvant des jus de légumes et beaucoup d’eau, vous allez vite sentir votre état physique se transformer et gagner en dynamisme.

Si vous associez cet état de santé, à l’état de cœur et un bon état d’esprit, vous aurez plus de chance d’aller beaucoup plus loin dans tout ce que vous allez mettre en place.

Ces 3  états sont donc primordiaux car si vous n’avez pas assez d’énergie physique malgré une forte volonté, vous n’irez pas bien loin. De la même façon, si vous mettez tout votre cœur dans vos projets, que vous vous sentez en pleine forme mais ne changez pas votre état d’esprit, que vous n’analysez pas les choses pour pouvoir tenir compte des erreurs passées et modifier votre comportement, ça ne fonctionnera pas. Ces trois états particuliers nous sont donc indispensables pour tenir sur le long terme.

 Le quatrième état est « l’état d’âme »
(Nous l’abordons de façon approfondie dans nos formations de Soul in a Mind !)
Quand vous envisagez la réalisation d’ un projet, vous prenez le temps de bien analyser les différentes étapes de sa réalisation, vous y mettez toute votre énergie pour pouvoir le propulser, vous analysez ce que vous faites, vous vous corrigez sans cesse, ça c’est l’état d’esprit. Pour chacune de vos actions, vous allez y mettre votre cœur, la Joie du moment présent, tout votre amour, là c’est l’état de cœur .Vous allez aussi veiller à entretenir votre dynamisme en prenant soin de votre santé par une qualité de nourriture, d’hydratation, d’exercice physique et de sommeil, appropriée au maintien du bon fonctionnement de chacune de vos cellules, ici c’est l’état de santé ! Quant à l’état d’âme, cela concerne l’acceptation et la reconnaissance de ce qui nous dépasse. Nous ne pouvons pas tout contrôler.

Il y a une force insaisissable qui nous pousse à aller de l’avant ! En général, cette énergie qui nous fait aller de l’avant nous invite toujours à sortir de notre zone de confort. Or, c’est dans notre zone d’inconfort que nous nous sentons vivants ! Si vous vous autorisez à rentrer dans votre zone d’inconfort, vous allez vraiment vous sentir vivant car c’est là que vous allez vraiment exister et vous sentir vibrant ! Connecter son état d’âme, c’est essayer de faire les choses non pas seulement pour soi, sa famille , ses proches mais pour la communauté humaine, pour la terre, l’univers, pour ce qui nous dépasse !!

Quand vous réalisez un travail, est-ce que vous vous demandez à quoi va servir ce travail ? A qui va-t-il servir ? Si vous vous autorisez à faire votre travail en ayant conscience que vous le faites pour quelque chose qui vous dépasse, pour un univers qui vous dépasse, en y mettant tout votre cœur, en y mettant la présence du Sacré, vous êtes connecté à votre état d’âme !

Le sacré a disparu dans la vie de tous les jours car nous n’y portons plus attention !

Or la Vie est sacrée et c’est notre regard sur elle, notre attention qui nous révèle son essence, sa source : le sacré !

Oui, la Vie est sacrée, elle est magique, c’est un Miracle ! Indépendamment de toute forme de religion, il  nous faut nous réapproprier le sens du Sacré. Connecter son état d’âme, c’est être relié au sacré, à ce qui nous dépasse !

Mettez de la conviction dans vos actions, de l’analyse dans ce que vous faites ! Mettez-y aussi du cœur, de la Joie, de l’Amour ! Mettez-y toute l’énergie de votre corps,  de vos cellules ! Mettez- y du sacré, de la valeur et là vous aurez connecté les 4 états qu’il convient de vivre pour réaliser n’importe quelle action et la mener à son plus haut degré. Ainsi, vous atteindrez l’excellence dans tout ce que vous faites !

Rappelez-vous ce que sont ces 4 états de croissance holistique :

1- L’état d’esprit
2- L’état de cœur
3- L’état de santé
4- L’état d’âme

J’espère que cet article vous a motivé et inspiré. Si vous l’avez apprécié, merci de le commenter et de nous dire pourquoi vous l’avez aimé et merci de le partager à vos proches qui pourraient être intéressés par le sujet.

Je vous invite à vous inscrire sur notre blog pour continuer à nous lire et je vous dis à la semaine prochaine pour continuer à apprendre, évoluer et partager ensemble.

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Je suppose que vous êtes comme moi et que vous aimez faire l’amour avec votre partenaire non ?
Mais savez-vous que faire l’amour est une forme de communication ?

Sans vous donner toute une liste, voici quelques exemples des différentes façons de faire l’amour :

. Il y a faire l’amour « animal », sauvage, à l’instant T. Une expérience mutuelle d’explosion des limitations, qui nous ramène à nos instincts primitifs. C’est l’énergie feu.

. Il y a faire l’amour « médical » qui remplace le bouchon de la cocotte-minute pour Monsieur et Madame. On pourrait aussi l’appeler le tranxene sexuel. Ca calme ! . Il y a faire l’amour « sensuel » la douceur, la lenteur, la profondeur des gestes,  emplis de tendresse. C’est une expérience qui élève, qui unit, qui rapproche. Ici, c’est le moment qui compte, la présence.

.Il y a faire l’amour « absent », c’est quand notre corps est avec l’autre mais que notre esprit est ailleurs. C’est un acte de peur, d’incertitude.
-Que vais-je faire ensuite ? Va t-il ou va t-elle aimer ça ? En se projetant dans le futur, nous ne sommes plus avec l’autre.

. Il y a faire l’amour « égoïste », l’autre compte beaucoup moins que soi, voire pas du tout. Je ne vais pas m’étaler dessus, mais si vous vous retrouvez dans ces mots, sachez qu’il existe d’autres moyens que d’utiliser un corps humain vivant pour cela… Oups !…

. Il y a faire « l’amour » oui, avec un grand « A », c’est se laisser aller dans un flux énergétique, dans une parfaite présence à l’autre. C’est devenir surfeur sur une vague.

On pourrait encore en écrire beaucoup sur le sujet  et je suis sûr qu’un seul article ne serait pas suffisant.

Je suis un amoureux de la méditation, un addicte de l’introspection, un chercheur de l’union sacrée et avec toute ces années de recherches et d’amour vécu, j’ai un jour décidé de considérer l’acte de «  faire l’amour » comme un chemin spirituel, comme un moyen de grandir intérieurement, spirituellement et mutuellement avec son âme Sœur.

Je me suis alors mis à écrire : The Soul Dance (la danse de l’âme).

En quelques lignes, je vais essayer de vous en donner l’essence , je vous invite à l’essayer avec votre partenaire et à m’écrire ou me laisser vos commentaires si ce n’est pas trop intime, bien sûr !

1/ Harmonisez-vous
Entrez en harmonie avec votre partenaire par votre respiration, lorsque vous inspirez, l’autre expire, et lorsque vous expirez l’autre inspire. Ce simple ajustement respiratoire va élever votre énergie d’union à un niveau que vous n’estimez même pas !

2/ Entrez en symbiose
Lorsque vous êtes harmonisés, utilisez alors vos mains, et tout votre corps pour entrer en symbiose. Il se peut que vous deviez au début vous entrainer à vous harmoniser plusieurs fois car être présent n’est pas toujours évident.

Une fois que vous êtes harmonisés, n’arrêtez pas votre respiration mutuelle mais mettez-y-en plus le Mouvement. Quand j’expire, l’autre inspire. Je caresse vers le haut avec ma main, mes jambes ou mon corps, quand j’inspire je caresse vers le bas. A chaque inspiration, il y a un mouvement vers le haut et à l’expiration un mouvement vers le bas (droit en courbe ou en rotation. Lâchez-vous !).

Au début, peut être faites-le, à tour de rôle, jusqu’à ce que la symbiose se produise et vous vous surprendrez à commencer à entrer dans une danse mystique.

3/ Se fondre en l’autre
N’arrêtez jamais de respirer en harmonie, si par hasard il y a une désharmonie, revenez simplement à la respiration commune et continuez (comme une méditation). A ce stade, déposez vos idées, vos conventions, ne projetez rien, ayez foi en vous et en l’autre.  Et entrez en union parfaite.

Vous n’êtes pas obligé de vous pénétrer mais ce n’est pas interdit non plus.

Ici, ce n’est plus vos têtes qui doivent vous guider, ce n’est plus votre désir non plus, ce sont vos deux âmes. Laissez-les s’exprimer, ayez confiance en elles. Et devenez spectateur de ces deux corps charnels.

Dans « la danse de l’âme » il n’y a pas la volonté de donner ou prendre du plaisir.

Il y a juste l’envie de vivre un instant mutuel dans la plus haute énergie intime.

Etre dans un présent parfait avec l’être que l’on aime.

C’est une expérience qui transformera votre couple, qui le renforcera, qui l’élèvera vers des valeurs hautes et riches.

Comme vos âmes sont créatrices et malicieuses, elles vous surprendront toujours et vous ne vivrez plus jamais de routine sexuelle.

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Avez-vous pris conscience que tout autour de nous était impermanence. Il n’y a rien qui ne dure. Regardez comment des moments de calme sont suivis de moments de tension, des moments de bonheur sont suivis de moments de malheur, des relations amoureuses peuvent être suivies de séparation et devenir même haineuses. Il n’ y a rien qui ne dure et comme disait Ajan Chah : «  La seule chose qui dure, c’est l’impermanence ».

Tout, absolument tout a un début, un milieu et une fin. Au regard de cette vérité, notre vie est un champ de bataille. Et nous sommes à la fois le guerrier et l’ennemi à combattre. Nous sommes la cause et les effets de notre vie. Dans la Bhagavad Gita, fable poétique et métaphysique indienne qui a beaucoup influencé la philosophie indienne, Krishna va délivrer un enseignement qu’on appelle yoga, à Arjuna, sur le champ de bataille juste avant une guerre imminente. La symbolique de la vie dans ce livre, est  un champ de bataille et ceci que ce soit autour de nous ou en nous. Comment pouvoir alors en tant que guerrier, détruire l’ennemi ou l’empêcher de nous attaquer ?

Dans les cartes du tarot, en ne considérant que leur message initiatique et non leur aspect divinatoire, il est intéressant d’étudier la  première carte du tarot qui est le bateleur. Ce bateleur, c’est vous, c’est moi, c’est l’être avec tous ses possibles. Cette carte nous enseigne que nous devons agir dans le monde sans s’y laisser happer, écraser.

C’est aussi un enseignement de Krishna dans la Bhagavad Gita .Ces deux philosophies sont des philosophies de l’Action. Dans le monde rien ne peut se faire sans action. Ce sont aussi des philosophies de la Dévotion qui rappellent l’importance d’être dévoué à sa cause personnelle ou à une cause qui nous dépasse. Et ce sont aussi des philosophies de la Connaissance car rien de juste et de bien ne peut se faire sans que nous grandissions en Sagesse.

Voici plusieurs exemples de combats de vie qui peuvent se jouer dans notre quotidien.

Prenons par exemple la maladie : la maladie est un appel à la paix de nos émotions, de nos sentiments et de nos pensées. Imaginons que vous allez voir un médecin pour un mal de gorge. Très souvent, il regarde notre gorge, nous ausculte rapidement, nous donne un médicament et en 5mn la séance est terminée. Vous allez donc prendre le médicament et le mal de gorge va passer. Vous n’aurez rien appris et n’aurez posé aucune action pour changer votre fonctionnement. L’ennemi qui était votre maladie aura disparu sans que vous n’ayez posé la moindre action si ce n’est celle de prendre votre médicament.

C’est pour cela que les maladies reviennent parce que leur message n’a pas été entendu. A l’inverse quand vous allez voir un homéopathe, naturopathe ou autre médecin holistique, comme je le fais à Bali, le médecin va vous questionner sur les symptômes, vous allez passer 1h ensemble et il va chercher à savoir ce qui s’est passé un jour ou deux avant que vous ressentiez les symptômes.
Et là, il y a tout un travail émotionnel et psychologique que vous allez mettre en place par la discussion. Vous allez chercher en vous ce que vous avez ressenti comme tensions ou ce que vous avez vécu avant l’apparition des symptômes pour comprendre ce que la maladie a à vous dire.
Parce que si vous tombez malade, c’est parce qu’il y a un problème à l’intérieur de vous-même. Vous pouvez avoir une personne atteinte d’un virus dans une salle qui ne contaminera qu’une seule personne parmi toutes les personnes présentes. Et la personne contaminée sera celle qui a besoin de cette maladie pour comprendre quelque chose sur elle-même.

Un autre exemple d’ennemi intérieur est notre volonté de retenir les choses et de ne pas accepter l’idée de l’impermanence des choses. Elle  peut créer des déviances, des maladies, comme par exemple le simple fait de ne pas vouloir vieillir et de vouloir rester jeune éternellement.

L’exemple suivant concerne nos façons de communiquer. Imaginez que vous êtes en discussion avec quelqu’un et que cette personne vous dise:
-Ah la la ! J’ai été opéré et je suis resté deux jours à l’hôpital ! Et vous lui dites alors :
-Ah oui ! Je me rappelle aussi ! Il y a deux ans, je me suis fait opéré, je suis resté 4 jours à l’hôpital, ce n’est pas facile hein !? La personne répond :
-Oui, mais moi, c’était vraiment dur ! J’ai vraiment souffert après l’opération ! Et vous lui répondez :
-Ah oui, je me rappelle, moi aussi, c’était vraiment douloureux à ce moment-là !
La personne ne se sentant pas écoutée peut éprouver des tensions, être déçue, choquée par votre manque d’empathie, elle peut éprouver de la colère… Car la façon dont nous communiquons crée des réactions chez l’autre, elle peut apporter du bien-être, de la joie, ou de la colère et de la tristesse… Rappelez-vous que l’ennemi et le guerrier, c’est vous et que la façon dont vous allez réagir va donner une direction à la communication que vous allez mettre en place.

Un autre ennemi est l’impression de stagnation. Pour y faire face, vous devez vous investir pleinement dans vos actions. Nous avons tous besoin d’évoluer, de croître, nous ne voulons pas stagner. La vie n’est que croissance.
Pour pouvoir évoluer, vous devez vous investir et poser des actions. Si vous voulez grandir spirituellement et psychologiquement, passez chaque jour du temps à lire, écrire, méditer, et non pas deux fois par an ou une fois au nouvel an pour vous donner bonne figure ! L’ennemi, c’est nous. Nous savons ce qu’il faut faire, nous connaissons les règles du jeu mais nous ne voulons pas les appliquer ! Etre guerrier nous demande un  réel investissement et un engagement à poser des actes.

Le bonheur et le malheur sont juste des états d’esprit et dépendent de la direction et de la qualité de vos pensées et de vos actions. C’est à vous de choisir, vous pouvez être heureux là maintenant, juste en souriant et en disant : « I’m ok ! ».  Je suis content de rédiger cet article, mais je pourrais aussi dire :
-Oh, je suis fatigué d’écrire ces articles ! Je peux choisir de me mettre dans un état de souffrance émotionnelle en pensant que c’est fatigant de choisir des thèmes, d’écrire et d’avoir toujours des articles à écrire chaque semaine…
Il y a deux façons de voir les choses. C ‘est à vous de choisir. Moi, je choisis le bonheur, d’ailleurs l’un de mes mantras favoris est « It’s ok ! »

Voici deux derniers exemples illustrant nos combats intérieurs : le premier est notre lutte pour avoir confiance en nous-mêmes. L’image que nous nous donnons de nous-mêmes génère des actions. Toutes nos actions sont subordonnées à l’image que nous avons de nous-mêmes. Les résultats de ces actions dépendent donc de l’image que nous avons de nous-mêmes. Plus nous avons une image élevée de nous mêmes, plus nos actions iront dans ce sens et plus les résultats seront élevés. Et ces résultats élevés vont augmenter l’image positive de nous-mêmes et ainsi de suite…

A l’inverse, si vous n’avez pas confiance en vous et êtes sans arrêt en train de déprimer, de dire « Je n’y arrive pas ! C’est difficile ! Je n’y arriverai jamais ! Je suis timide…etc », les actions que vous allez mettre en place vont être subordonnées à l’image que vous avez de vous-même, les résultats seront donc moins bons que ce que vous désirez, donc diminués par rapport à vos attentes, ce qui va diminuer encore plus l’image que vous avez de vous-même et ainsi de suite…c’est un cercle sans fin !

Vous avez le choix, vous pouvez choisir le cercle du bonheur ou du malheur et cela ne dépend que de vous !

Le deuxième exemple concerne nos peurs. Celles-ci ne dépendent uniquement que de nos productions mentales. La peur n’est que la projection dans un futur d’un présent qui n’existe pas. Nous allons juste projeter dans notre esprit différents scénarios qui n’existent pas et nous allons nous y accrocher ! Ce qui va créer un combat intérieur. Imaginez que vous avez envie de faire un saut de 8m  dans l’eau et que vous êtes en haut d’un rocher, qu’en regardant en bas vous avez peur. Vous avez peur de mal tomber, de vous casser la jambe ou de mourir. Votre mental va s’accrocher à tous les scénarios que vous avez envisagés plutôt qu’à la réalité. Etre dans la réalité serait de se dire :
-Est-ce qu’il y a des risques, est-ce qu’il y a des pierres ? Non !
-Est-ce que c’est profond ? Oui !
-Si je tombe, je peux peut-être me faire un peu mal mais je ne vais absolument pas mourir.
A partir de là, vous pouvez vous accrocher à une projection future qui n’existe pas ou revenir à la réalité en vous disant :
-Ok ! On m’a appris à sauter ! Je sais comment sauter ! Je sais comment mettre mon pied d’appel ! Je sais comment arriver dans l’eau en mettant mes mains sur le côté pour ne pas me faire mal aux épaules. J’ai tous les éléments nécessaires pour faire ce saut ! Je peux le faire !

C’est ici qu’on peut voir la différence entre se laisser happer, écraser par la vie ou oser dépasser les obstacles et prendre les choses en mains.

Nous ne sommes pas des victimes. Nous avons souvent la sensation d’être victime de ce qui nous arrive, nous nous sentons impuissants devant ce qui nous arrive mais nous ne sommes pas victimes ! Nous avons juste à combattre notre ennemi intérieur ! Tout ce qui nous arrive dépend uniquement de nos pensées, de nos actions, de la façon dont nous voyons le monde, de nos interprétations et de rien d’autre !

Voici un exercice que je vous suggère :

Prenez chaque chose qui vous arrive comme un enseignement de Krishna dans la Bhagavad Gita. A chaque fois qu’un problème surgit, maladie, problème professionnel, affectif ou autre, posez-vous la question :

– Qu’est-ce que je dois faire et qu’est-ce que je ne dois plus faire ?
– Quelles sont les dernières pensées que j’ai eues ?
– Quelles sont les dernières actions récurrentes que j’ai faites avant que ce problème n’arrive ?
– En quoi cette situation m’empêche t-elle d’avancer ?
– Que m’invite t-elle à modifier pour pouvoir avancer ?

Si vous ne faites rien, si vous laissez juste les choses se solutionner toutes seules, (comme dans l’exemple  de la maladie où c’est la prise de médicaments qui soigne), vous ne serez jamais en contact avec vos émotions, vos sentiments, avec votre intériorité, donc vous ne verrez jamais l’ennemi en vous. Et cet ennemi reviendra toujours !

J’ai un mantra personnel que j’utilise quand tout va mal  et que je ne trouve pas mes propres ressources pour pouvoir avancer : « Ma passion, ma mission, mon service sont plus grands que mes peurs ! »

Avec ce mantra, je me reconnecte avec ce que je dois faire là, ici et maintenant, quelque chose qui me dépasse, qui est plus grand que moi. Je laisse de côté toutes mes peurs et je me mets dans le mouvement, je me mets en action et je me fais pression…

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Citations en relation à l’article

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Le milieu professionnel, les meetings, les réunions,  le travail d’équipe, divise l’humanité en deux groupes distincts.

D’un côté, les extravertis, qui dirigent essentiellement le spectacle, qui veulent être sur le devant de la scène, et de l’autre, les introvertis plus prudents, moins bavards, plus en retrait, silencieux, noyés aussi dans la culture moderne de nos sociétés où la brillance et l’extravagance sont mises en avant, et semblent être des qualités recherchées.

L’éducation fonctionne sur ce même modèle : les enfants doivent apprendre et travailler en groupe, plus tard ils travailleront en équipe en extérieur ou dans des bureaux qui deviennent de plus en plus ouverts et bruyants.

Tout ceci est conçu pour les personnes qui ont besoin de beaucoup de stimulations.

Et comme nous le répétons souvent, il n’y a plus d’espace, ni de place, et encore moins de temps pour le calme et la contemplation : un espace où l’on peut agir, créer, innover seul et par soi-même.

Les sondages psychologiques internationaux ne sont pas clairs sur les statistiques mais nous pouvons dire qu’il y a environ, entre un tiers et la moitié des personnes qui sont introverties. Alors si vous n’êtes pas vous-même un introverti, rappelez-vous que  votre partenaire de vie, un de vos enfants ou un de vos collègues de travail pourrait l’être.

Quelle analyse faire de ce constat ?

Avant toute chose, être extraverti ou introverti n’est qu’un état d’esprit.

Les deux termes d’ailleurs ont vu le jour grâce à Carl Gustav Jung en 1920, terme apparu dans son livre : Types Psychologiques.

Jung distinguait deux types d’attitude chez les individus, selon qu’ils s’intéressaient davantage aux objets externes à eux mêmes, c’est à dire les autres, leur environnement, les objets, ou alors à leur univers intérieur.

Les extravertis et les introvertis ayant deux états d’esprit différents et opposés, ont donc besoin d’environnements différents pour fonctionner de manière optimale, mais force est de constater que nos modèles de société, écoles et lieux de travail sont principalement conçus pour les extravertis.

Les extravertis ont besoin de beaucoup de stimulations alors que les introvertis se sentent plus vivants, plus connectés à eux mêmes et bien plus capables lorsqu’ils sont dans des environnements plus calmes et plus discrets.

Et pourtant, ne serait-ce pas les introvertis qui gouvernent le monde ?

Car la solitude est un ingrédient crucial de la créativité.

Prenez Steeve Jobs par exemple, qui passait de longs moments seul, dans des pièces vides d’objet, ou Carl Gustav Jung qui passait son temps à explorer seul, son inconscient.

Il y a aussi eu tous les grands sages qui ont traversé nos époques, je pense à Moïse, Jésus, Bouddha et Muhammad qui sont partis par eux-mêmes dans le désert et ont créé l’histoire.

La solitude a un pouvoir de transcendance.

Et si nous observons le fonctionnement des groupes, nous nous apercevons que les personnes présentes dans un groupe suivent les opinions de la personne la plus dominante ou la plus charismatique du groupe. Bien souvent, ce ne sont pas les groupes qui créent l’histoire, mais les personnes seules.

Si j’avais 4 conseils à vous donner, ce serait ceux-là :

1. Ne soyez pas obnubilé par l’envie de faire un travail de groupe. Si l’union fait la force et qu’il est nécessaire d’avoir d’autres personnes avec soi pour lancer un projet, la créativité naît dans le silence et le calme. Il est préférable d’avoir beaucoup plus d’intimité, de liberté et beaucoup plus d’autonomie pour travailler et étudier. Cela permet à chaque personne du groupe de déployer pleinement sa créativité au lieu de seulement suivre le leader.

2. Prenez du temps pour vous. Méditez, soyez seul et silencieux, devenez ce nouveau prophète, ayez vos propres révélations et partagez-les.
3. Croyez en votre intuition, ne la laissez pas de côté.
4. Ne restez plus dans l’ombre, si vous êtes introverti, et ne noyez pas les autres si vous êtes extraverti. Combinez vos qualités, cela permettra à votre communauté de s’élever.

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Citations en relation à l’article

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Vous avez envie de savoir ce qui vous dérange quand vous vous réveillez après un cauchemar ?
Ou pourquoi un rêve vous bouscule plus qu’un autre ?
Ou encore pourquoi celui-ci stimule ou plombe votre journée ?

Vous vous posez simplement les mêmes questions que 98% des gens. Et tout comme eux, vous ne donnez pas de réponses, n’est-ce pas ? Mais c’est normal car personne ne vous a jamais appris à communiquer avec vos rêves ?

Depuis que j’étudie Carl Gustav Jung, ce qui représente plus de 20 ans maintenant, et que  j’analyse mes rêves de jour et de nuit, ainsi que ceux de mes amis et étudiants, j’ai pu synthétiser mon étude des rêves en 4 piliers fondamentaux qui nous offrent une analyse très précise.

1. Un rêve parle toujours de vous

Prenez-en considération que chaque personnage que vous voyez est une facette de vous-même.

Rappelez-vous que vous êtes la seule personne qui ne vous voyez jamais durant votre journée sauf quand vous êtes devant votre miroir. Votre subconscient n’a donc qu’une très vague image de vous-même. C’est pour cela qu’il va utiliser d’autres personnages pour représenter les facettes de vous-même qui s’expriment.

Pour savoir de quelle facette il s’agit, il suffit juste de vous demander ce que représente la personne en question, pour vous  maintenant et de noter INTUITIVEMENT sans aucune retenue, 3 adjectifs qualificatifs que vous donneriez à cette personne si vous deviez en parler avec un ami.

Par exemple, vous rêvez de votre amie Anne. Vous écrirez : Anne est compatissante, timide, manque de confiance en elle. Et si vous rêvez de votre ami Claude, vous pourriez écrire : Claude est  clairvoyant, entrepreneur, impatient. Avec ces 3 adjectifs, vous savez alors quelles facettes de vous s’expriment dans votre rêve. Plus il y a de personnages, plus vos différentes facettes s’expriment.

2. Un rêve vous indique vos énergies actuelles

La seconde étape, c’est de regarder ce que font ces personnages et ce qu’ils ne font pas (c’est à dire les facettes de vous même).

L’action que fera le personnage dans votre rêve vous indiquera un état d’esprit ou un état émotionnel de la facette qui vous représente.

Par exemple : vous rêvez de votre amie Anne qui est au volant d’une voiture. Elle est calme et sereine pour aller récupérer un enfant qui disparaît au fur et à mesure que la voiture avance vers lui. Et Claude est assis sur le siège d’à côté et ne cesse de lui crier dessus pour aller plus vite.

Nous pourrions analyser cette scène ainsi : la partie de vous qui est timide, pas sûre d’elle et pleine de compassion pour les autres, se prend en main et décide de prendre les choses sous son contrôle (car c’est elle qui conduit). Elle prend sa vie en main en regardant son côté enfant, irresponsable qui est peut être  en train de mourir à lui-même (l’enfants qui disparaît), et elle sent qu’elle est à sa place (calme, sereine).

L’autre partie de vous, entrepreneur, fougueux, plein d’idées, lui, refuse, car cette partie irresponsable, représentée par l’enfant le représente, (il crie d’avancer plus vite, il n’a plus le contrôle car c’est Anne qui conduit).

On pourrait dire, qu’il y a deux énergies en vous, là maintenant, l’enfant irresponsable (Claude) qui prends des risques et qui veut toujours se lancer dans des choses qui aujourd’hui doivent être abandonnées pour laisser émerger l’autre énergie en vous (Anne) plus compatissante, qui a beaucoup de chose à dire (timide) qui jusque-là n’avait pas encore trouvé les moyens de s’exprimer, (manque de confiance en soi) mais qui aujourd’hui a enfin trouvé une clé, (elle conduit la voiture).

Il n’y aura plus qu’à regarder ce que vous venez de mettre en place récemment (la voiture que vous conduisez) dans votre vie et vos façons d’agir irresponsables et immatures que vous devez abandonner.

3. Un rêve vous indique l’état d’urgence ou de réalisation

Le meilleur moment pour noter votre rêve est dès que vous ouvrez les yeux pour la première fois. En règle générale, on ouvre les yeux et quelques secondes ou minutes après, on se rendort.

Et bien, c’est à ce moment précis, qu’il convient de le noter, même si vous êtes à moitié endormi. Cela vous demande d’avoir toujours à vos côtés un cahier et un stylo. Notez votre rêve spontanément même si cela vous parait incohérent. N’oubliez pas que votre inconscient communique de manière subtile à votre conscience quotidienne. Dès que vous avez fini de noter votre rêve, indiquez en bas toujours sans réfléchir vos impressions au réveil, et puis donnez-lui un titre. Vos impressions peuvent être par exemple : je me sens heureux, rempli de forces. Ou je me sens abattu, épuisé. Ou bien encore je me suis réveillé rempli de peur et de craintes.

Imaginons que pour ce rêve que nous avons créé avec Anne et Claude, vous ayez noté : au réveil je me suis senti calme et reposé, et j’avais le sentiment que je faisais bien les choses. Je vais me rendormir avec le sourire. En titre, vous avez mis : Une nouvelle vie au bout du voyage. Ces impressions vous indiquent bien que votre rêve vous parle d’une réalisation, d’une complétude.

A l’inverse, si vos impressions étaient : Au réveil, je sentais que je m’étais trompé et que j’aurais dû écouter Claude.  En titre vous allez noter : Le chemin de l’erreur. Cela pourrait alors indiquer, qu’il y a urgence d’accélérer ce que vous faites et de vraiment travailler sur votre confiance en vous (ce que vous demande Claude). Comme le rêve parle de vous, les données émotionnelles que vous allez recueillir peuvent transformer l’analyse de votre rêve. Entre la première analyse sans les impressions au réveil et le titre, et la seconde, tout prend une autre forme.

4. Un rêve conditionne vos actions

Carl Gustav Jung explique que pour lui les rêves sont des processus de compensation qui servent à rétablir l’équilibre psychique face aux tensions qu’éprouve la personne dans sa vie consciente. Si vous comprenez cela, vous comprendrez parfaitement qu’un rêve ne parle que de vous.

N’avez-vous jamais eu une journée complètement ratée à cause d’un mauvais rêve ?
Ne vous êtes-vous jamais senti en pleine forme suite à un rêve extraordinaire ?

C’est de cela dont il s’agit. Nos rêves conditionnent nos états émotionnels. Alors dans une dynamique de croissance individuelle et collective ou de croissance spirituelle, nous essayerons toujours d’éviter autant que possible toute forme de conditionnement.

Si vous passez quelques minutes, chaque jour à analyser vos rêves, cela revient à dire que vous ne leur laissez pas la possibilité de conditionner vos journées, mais que vous reprenez  par ce biais, le contrôle de votre vie…

Télécharger gratuitement le PDF d’analyse de rêves :

Analyse-Reve_Soul-in-a-Mind 

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Citations en relation à l’article

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Ne serait-il pas plus bénéfique d’enseigner à tous nos enfants comment cultiver des tomates, des fraises ou des mûres plutôt que de les voir casser leur tirelire pour acheter des paquets de chips ou des bonbons au supermarché ?

Les aliments sont nos médicaments n’est-ce pas ? Qu’y a-t-il de plus important que la santé dans la vie ?
Si personne ne leur enseigne à cultiver les produits naturels que nous offre la terre, comment les nouvelles générations vont-elles prendre soin d’elles-mêmes surtout avec les prévisions prévues pour les années 2035 -2050 ? (Prospective 2015-2025 Marc Halévy)

Problème actuel non négligeable : l’augmentation du taux d’obésité chez l’enfant.

L’OMS (l’Organisation Mondiale de la santé) estimait qu’en 2014, le monde comptait plus de 41 millions d’enfants de moins de 5 ans en surpoids. Selon l’oecd.org, en 2017, 1 enfant sur 6, dans le monde, est obèse ou en surpoids. Les enfants en surpoids et obèses risquent de rester obèses une fois adultes et sont plus susceptibles de contracter des maladies non transmissibles telles que diabète et maladies cardiovasculaires à un âge plus précoce.

Ne serait-il pas temps de penser à enseigner le jardinage à l’école pour redécouvrir la chance et le bonheur de manger des fruits et légumes naturels qui nous sont offerts par la nature, en d’autres termes apprendre à se nourrir et non pas à manger ?

LES AVANTAGES du jardinage enseigné dès le plus jeune âge

Enseigner à cultiver des fruits et légumes aux enfants, c’est leur faire prendre conscience que nous pouvons nous nourrir avec ce que la terre nous offre. Voir des fruits et légumes naître dans son potager, pouvoir les cueillir, les toucher, les sentir, les goûter après avoir attendu des jours, voir des mois avant de pouvoir le faire, c’est le meilleur moyen de se reconnecter avec la nature.

C’est aussi un des meilleurs moyens pour prévenir le gaspillage. Qui jetterait ces quelques fruits et légumes après le temps et les efforts investis pour les obtenir ? Et puis, s’il y en a trop, les fruits et légumes peuvent être donnés à ses voisins .Voici une bonne occasion d’enseigner l’altruisme aux enfants et de commencer à recréer la grande famille de l’humanité que nous sommes.

Apprendre à jardiner, c’est aussi apprendre à recycler, à composter. Dans un jardin, rien ne se jette à la poubelle ! Tout peut être recyclé grâce au compostage produit par la fermentation des déchets verts qui se convertissent en engrais naturel, un véritable substitut aux engrais chimiques achetés dans les commerces.

Un autre point positif concernant le jardinage à l’école, c’est le fait de leur permettre de se sentir fiers d’eux et de prendre confiance en eux car en leur donnant la possibilité de s’occuper eux-mêmes de leurs plantes, ils ont la pleine responsabilité du processus de croissance de leurs plantes, qui leur fera comprendre leur propre processus de croissance personnelle. C’est leur projet. Quand la fleur a éclos ou que les fruits et légumes sont suffisamment murs pour être cueillis, ils savent que c’est grâce à leurs efforts et leur attention et leur persévérance qu’ils ont obtenu ces résultats là. Ne trouvez-vous pas une similitude avec la vie professionnelle, personnelle et spirituelle ?

Il n’est cependant pas si facile que ça, d’obtenir des fleurs, des fruits et des légumes. Il y aura des fois ou cela ne fonctionnera pas, des plantes mourront etc. Ce n’est pas grave ! Cela deviendra alors une leçon de science : l’apprentissage du cycle de la vie. Si au contraire, les fruits mûrissent, ils pourront les savourer avec joie, énergie et bonne humeur. Cela donnera l’occasion de parler de leurs apports énergétiques, vitamines, minéraux et oligo-éléments et de leur apprendre à cuisiner ce qu’ils auront récolté, non pas pour devenir cuisinier professionnel mais pour être capable de se nourrir correctement et surtout sainement à l’âge adulte.

Bien se nourrir, c’est aussi se sentir bien physiquement. (Si vous voulez une astuce pour vous nourrir sainement et vous sentir en forme tous les jours, je vous conseille de lire notre article : « le régime alcalin, un régime malin ! », associé au rituel journalier et vous allez devenir un véritable « Soulminder » !)

Il n’est jamais trop tard pour changer nos habitudes

Depuis la fin du XVIIIème siècle, l’hortithérapie, créée par le psychiatre américain Benjamin Rush, invite à cultiver la terre pour cultiver l’estime de soi. L’autisme, les migraines, la dépression profonde, l’épilepsie ou les personnes âgées peuvent être soignés par cette discipline qui aide à maintenir un éveil intellectuel et spirituel. Vous pouvez à tout moment adhérer à l’hortithérapie et faire pousser un mini potager dans votre jardin, votre balcon ou votre cuisine. Vous aurez alors besoin d’un peu de soleil et d’un arrosage régulier et le tour est joué !

Qu’est-ce qui motive l’industrie alimentaire, comme toute autre industrie ? L’argent. D’ailleurs, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les aliments frais et naturels coûtent plus chers que la « malbouffe » de nos supermarchés ?

Si nous décidons de donner notre argent aux marchés biologiques locaux, les prix commenceront à chuter et l’industrie alimentaire sera forcée de trouver d’autres méthodes pour produire nos aliments. Les fruits et légumes bio deviendront communs. Nous aurons des corps en bonne santé et de meilleurs esprits pour apprendre.

Il est donc essentiel d’enseigner aux enfants l’importance de cultiver des fruits et légumes dans un jardin potager sans pesticides ni engrais ajoutés. La prévention doit se faire dès le plus jeune âge.

C’est d’ailleurs ce qui est enseigné ici à Bali, en Indonésie, dans les écoles comme Greenschool, Montessori school, Pelangi school et des écoles avec des initiatives identiques un peu partout dans le monde.

Ces écoles sont-elles issues de nos gouvernements : NON, elles sont privées. Pourquoi ? Posez-vous la question et posez la leur aussi…

Pour terminer, non seulement le jardinage peut-être à la fois amusant et relaxant, mais c’est aussi un atelier qui permet d’enseigner la reconnexion avec la nature, le recyclage, le compostage, l’altruisme, la confiance en soi, la responsabilité, la créativité, il permet aussi de prendre conscience de l’importance de manger sainement et de prévenir ainsi l’obésité.

Jardiner, cultiver bio est essentiel. Nous avons perdu cette valeur en dépendant de l’industrie alimentaire. Il est temps de changer nos habitudes, de faire redécouvrir aux générations futures ce qui jadis était l’une de nos premières préoccupations.

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Resumé de la vidéo :

Nous avons tous besoin, à un moment de notre vie, d’être capable de nous contrôler et de maîtriser notre esprit. Ce qui signifie être aligné.
Cela ne signifie pas avoir, la tête, le ventre et les pieds alignés ! Etre « aligné » signifie être en accord avec ce que nous pensons, ce que nous faisons et ce que nous disons. Ce terme fait référence à la discipline bouddhiste. Etre « aligné », c’est donc être discipliné. En s’observant, nous découvrons que nos pensées sont passées par notre cerveau, que nos paroles et nos actes ont d’ abord été pensés par notre cerveau et notre esprit. Etre « aligné », c’est donc avoir le contrôle de soi, la maîtrise de notre esprit.

Comme vous avez pu le constater, la maîtrise de soi est le but recherché par toute personne faisant un travail de croissance individuelle ou spirituelle. Plus vous allez maîtriser votre esprit, plus vous allez retrouver de la confiance en vous, plus vous ressentirez du calme, de la sérénité, plus vous vous sentirez droit, discipliné et aligné. Cet alignement avec vos valeurs profondes vous rendra plus fort.

Maîtriser votre esprit va augmenter votre qualité de vie car la qualité de votre vie dépend essentiellement de la qualité de vos pensées.

Si vous pensez chaque jour de façon positive non pas en vous disant :
– Je suis quelqu’un de bien, je suis intelligent etc…
mais en redirigeant plus correctement votre esprit comme par exemple, lorsqu’une personne vous dit :
– Qu’est-ce que t’es con toi ! et qu’au lieu de l’agresser à votre tour, vous vous dites :
-Mais pourquoi, il me dit ça, là maintenant ? Qu’est-ce que j’ai à comprendre de ça ?

Votre pensée positive va vous détourner de l’agression pour vous mener à la compréhension et au non-jugement…ce qui débouchera obligatoirement sur des résultats constructifs et non destructeurs.
C’est un des points les plus importants de se rappeler que la qualité de notre vie dépend de la qualité de nos pensées.

En regardant bien, nous découvrons qu’il n’y a pas d’erreurs dans nos actions, il n’y a que des leçons. Chacune de nos actions que nous voyons comme une erreur peut être considérée comme une leçon de vie. Il n’y a pas d’échec dans nos actions car chaque échec est un point de départ, une nouvelle opportunité de croissance individuelle et spirituelle. A chaque fois que je suis en échec, je peux me poser la question :
– Qu’est-ce que j’ai à apprendre de ce que je viens de vivre par rapport à moi-même et par rapport à mon environnement ?

C’est cela avoir la maîtrise de son esprit. C’est comprendre que cela passe d’abord par mes pensées qu’il va falloir que je maîtrise et que tout ce qui m’arrive, peut être vécu comme une leçon. Il n’y a aucune erreur, aucun échec qui ne puisse pas être considéré comme une leçon de vie ou un point de départ pour grandir. Avoir la maîtrise de son esprit, c’est se connaître soi-même avant toute chose, connaître le fonctionnement de son esprit, savoir comment je peux collaborer avec lui.

Voici deux exercices que je trouve très utiles pour accéder à une bonne maîtrise de son esprit.

Le premier exercice, c’est travailler sa concentration.

La concentration est le point de départ de tout cheminement individuel et spirituel.

Si vous voulez méditer et ne savez pas vous concentrer, comment allez-vous faire ? Vous allez vous concentrer sur un objet mental, sur votre respiration … Si vous voulez être en relation ou en amour avec quelqu’un, si vous ne vous concentrez pas sur votre relation, si vous ne portez pas attention à votre relation dans votre quotidien, votre relation a de forts risques de souffrir ou de s’arrêter.

A 23 ans, je suis allé en Indes voir un yogi Hindou que j’ai questionné sur la Méditation… Je voulais en fait, qu’il m’enseigne la méditation. Et voici ce qu’il m’a répondu :
-Tu vas rentrer chez toi, tu vas acheter une bougie et chaque jour tu vas regarder la bougie.
-C’est tout ? lui ai-je répondu.
-Oui, m’a-t-il dit. Mais tu vas la regarder chaque jour en commençant par une minute le premier jour, puis deux minutes le deuxième, puis trois…jusqu’à 90 mn ! Et quand tu y seras parvenu, tu redescendras à 1 mn !
Ca ne me paraissait pas trop compliqué mais il a rajouté :
-Si pendant que tu le fais, tu oublies une journée, tu devras tout recommencer à zéro !
Je suis donc rentré chez moi et c’est ce que j’ai fait chaque matin. Il m’a fallu plus d’un an pour réussir à faire cet exercice en entier.

Vous n’êtes pas obligé de faire cet exercice sur une telle durée, (c’est réservé aux Soulminders ), mais vous pouvez vous entraîner sur une durée de 10 à 20 mn par exemple…Commencez par une durée de 30s ou 1 mn jusqu’à 10 ou 20 mn , puis redescendez…Vous allez être surpris de découvrir à quel point vous allez renforcer votre concentration.

Cet exercice va avoir des répercussions dans votre quotidien, dans ce que vous allez écrire, dans la façon dont vous allez travailler sur votre ordinateur ou la façon dont vous allez lire votre livre. Vous serez totalement concentré sur ce que vous faites, en totale immersion et votre esprit ne vagabondera plus en pensant à d’autres préoccupations.

Le deuxième exercice, c’est penser la Pensée opposée
Votre esprit ne peut se concentrer que sur une seule chose à la fois.
Pour le comprendre, répétez un, un, un…mentalement et essayez de répéter deux, deux, deux sur le un… Dire un et deux en même temps est impossible ! Savoir que l’on ne peut se concentrer que sur un seul point à la fois est une clé pour toute personne qui veut pratiquer la méditation et faire un travail de croissance spirituelle.
Donc le deuxième exercice est le suivant : Lorsque vous vous blâmez et que vous vous dites par exemple :
-Je suis nul ! Je ne suis pas intelligent ! Pensez la pensée opposée ! Recherchez toutes les fois où vous avez réussi à faire les choses, où vous vous êtes senti intelligent. Il s’agit juste de laisser les pensées qui vous rabaissent et diminuent votre énergie pour vous tourner vers celles qui vous donnent de l’énergie et vous élèvent…Vous dirigez ainsi intentionnellement vos pensées vers le meilleur de vous-même…

Rappelez-vous la qualité de votre vie dépend de la qualité de vos pensées.

En pratiquant ces deux exercices, celui de la Concentration et celui de la Pensée opposée, vous allez augmentez votre qualité de vie et ressentir un certain bonheur de vivre.

Le bonheur nous vient uniquement de cette faculté que nous avons, à nous concentrer sur nos rêves de vie que nous voulons mettre en place. Imaginez-vous faire chaque jour ce que vous voulez vraiment faire…Imaginez-vous réaliser chaque jour ce que vous avez vraiment envie de réaliser… Quelle serait votre vie ? Quelle serait la qualité de votre vie ? Vous vivriez heureux et en joie chaque jour !
Le bonheur provient de cette énergie que l’on déploie pour réaliser ses propres rêves. Quels que soient vos rêves, aussi petits soient-ils, en déployant cette énergie, vous élèverez la qualité de votre vie et serez dans une joie rayonnante.

Maîtriser son esprit, c’est donc :
– maîtriser sa concentration en se concentrant de plus en plus sur la flamme d’une bougie par exemple
–se tourner vers les pensées opposées à vos pensées négatives, ce qui vous donnera une direction de vie vers le meilleur de vous-même…

Rappelez-vous !
La qualité de vos pensées va déterminer la qualité de votre vie. Donc maîtriser votre esprit détermine la qualité de votre vie.
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le commenter et le partager.
Quant à moi, je vous dis à la semaine prochaine pour continuer à apprendre, évoluer et partager, ensemble.

Merci !

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Voulez-vous être plus concentré, plus productif, être en bonne santé et avoir la pêche tous les jours ou bien continuer a consommer des produits industriels qui vous rendent plus faibles jours après jours ?!

Pourquoi ne pas se laisser tenter par un régime végan alcalin ?

Promis, pas de ruine à la clé : juste à acheter des produits naturels et sains tel que des fruits et légumes et le tour est joué !  Mais…

1. Le régime alcalin, c’est quoi ?!

On le nomme aussi “régime acide-base” ou bien régime “anti-acide”. Pour que les cellules de notre corps restent saines, notre sang doit rester légèrement alcalin.

L’alcalinité/acidité est mesurée sur une échelle de 1 à 14. (1= très acide, 7=neutre, 14= pur alcalin). Notre sang doit maintenir un PH d’alcalinité de 7,365.

Il est important de bien comprendre comment fonctionne notre corps afin de pouvoir pleinement apprécier le fonctionnement du régime alcalin.

Selon Robert O. Young qui est un naturopathe américain, notre corps fonctionne en utilisant un courant électromagnétique subtil. Les signaux nerveux sont en réalité des charges électriques. Notre cerveau, notre cœur et tous nos organes émettent un champ de courant électrique.  Nos cellules communiquent entres elles avec des pulsations électriques.

Quand nous mangeons des aliments, notre corps rompt les particules d’aliments jusqu’à leur plus petites tailles, appelées colloïdes. Un colloïde est la plus petite forme d’une particule de nutriment. Ces particules de nutriment sont alors portées par nos cellules par charge électrique.

Si nous mangeons quelque chose sans vie (comme les aliments industriels par exemple), ou bien avec une fréquence énergétique basse, nous ne fournissons pas notre corps avec l’énergie électrique dont il a besoin.

L’énergie en alimentation est mesurée en Mégahertz (Mhz). Cette charge peut aller de 0 à 250+.

Les aliments que nous mangeons doivent être énergétiquement vivants afin d’apporter les nutriments dont nos cellules ont besoin ou bien nous devenons fatigués et malades.

Pourquoi manger des aliments qui nous enlèvent plus d’énergie qu’ils ne nous en donnent ?

Schéma Mégahertz (Mhz):

Les aliments que nous incluons dans notre régime alimentaire devraient avoir une fréquence d’au moins 70 Mhz. Quand vous mangez quelque chose qui apporte moins de 70MHz, cet aliment enlève plus d’énergie à votre corps qu’il ne lui en apporte.

En réalité, quand vous ne mangez pas d’aliments qui comportent 70Mhz ou plus, votre corps déclenchera immédiatement une très forte envie d’énergie, que vous chercherez à compenser avec des énergies artificielles telles que des aliments caloriques, la caféine, le sucre etc.

2. Comment mettre en place un régime végan alcalin?

C’est facile, il suffit juste de choisir vos aliments en fonction de la liste ci-dessous, avec un ratio 75-80% d’aliments alcalins pour 20-25% d’aliments acides et le tour est joué… Facile Non ?

3. Les bénéfices d’un régime végan alcalin

En nourrissant votre corps avec des aliments sains et naturels, vous rééquilibrerez les niveaux de PH de votre corps, en d’autres termes, vous vous sentirez plus dynamique, vous aurez une meilleure concentration, votre mémoire sera améliorée et vous dormirez mieux.

Pourquoi continuer à acheter des produits industriels alors que la solution se trouve dans notre potager?

Consommons ce que la terre nous fournit ! Notre portefeuille nous le remerciera et notre corps aussi !

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Le stress n’est pas obligatoire et peut être évité pour être plus productif

Comment en faire plus, tout en travaillant moins mais mieux ? Comment chaque jour aller de l’avant et avancer rapidement vers vos buts de vie ? Comment sélectionner les opportunités qui se présentent à vous, tout en sachant dire oui ou non ? En d’autres termes, comment devenir ultra productif sans générer de stress ? La notion de productivité rime souvent avec le stress de l’urgence, de la Dead line, la peur du résultat. Sur du long terme, ça génère des burnouts et un sentiment d’incomplétude dans son travail. Nous avons tous vécu cela dans notre activité professionnelle. Mais celui ou celle qui prend conscience que son travail est l’extension de son identité, saura alors modifier l’approche de sa productivité pour faire en sorte qu’elle soit efficace sans générer de stress. Il ne faut pas oublier que c’est la zone de vie dans laquelle, chaque jour, nous passons le plus de temps à nous exprimer. Etre plus productif, sans générer de stress, c’est ce dont nous allons parler aujourd’hui et pour cela je voudrais partager 7 idées avec vous. Lors de coaching de chef d’entreprise ou de manager et de leur team, j’observe souvent la même erreur. Celle de penser que d’avoir plus de logiciels ou plus d’applications dans son téléphone et sa tablette, vous rendra plus productif. Et malgré l’achat du dernier logiciel de gestion, ou du dernier calendrier, ou de la dernière application de notes et de rappels, aucun changement durable ne se produit. Et c’est normal, je leur dis dès les départ :  « Ce n’est pas le logiciel ou une application qui vous fera travailler mieux, mais uniquement les actions que vous allez mettre en place. » Et ces actions ne peuvent être effectives qu’en fonction de la façon dont on les a imaginées, et préparées. Pour être plus productif sans générer de stress ce n’est pas une tactique mais en priorité un switch psychologique qu’il faut générer, un changement de mindset, de façon de penser, ce qui aura pour effet, de modifier vos actions en profondeur. Et ces actions, seront pour le thème d’aujourd’hui, moins nombreuses mais de meilleure qualité et vous feront grimper à un niveau de productivité inégalé. Mais attention, si vous avez des « mous d’esprit » parmi vos collaborateurs, vous ne vous ferez pas que des amis .

La 1ière idée, pour être plus productif sans stress c’est de décider dès le matin de prendre les commandes, d’être maître de votre journée et de vous y tenir.

 Vous deviendrez ce que vous deviendrez et réussirez ce que vous réussirez,  en fonction uniquement de la manière dont vous allez manager votre journée. Le management de votre journée, ce n’est pas seulement durant votre travail que vous devez le préparer, mais avant, pendant et après. Notre travail est juste l’extension de notre personnalité. Ce n’est pas une coupure dans nos vies, mais la continuité du matin, du midi et du soir. Commencez votre journée en vous fixant des intentions claires, précises sur ce que vous voulez devenir aujourd’hui, pour votre vie professionnelle, pour votre vie relationnelle, pour vous même. Juste une intention dans chaque domaine dans lesquels vous allez vous engager durant toute cette journée. Vous n’avez pas besoin de plus de temps, ou de plus d’applications pour être plus productif, mais juste besoin de plus de raison, de plus de sens dans vos actions pour utiliser votre temps sagement. En procédant ainsi, votre journée d’aujourd’hui voudra dire quelque chose pour vous, et toutes les autres aussi.Investissez-vous de 100% à 1000% dans votre journée. Que ce soit en tant que père ou mère de famille, en tant que mari ou femme, en tant que chef d’entreprise, en tant qu’employé de bureau, en tant qu’ami, plus vous allez créer du sens à vos journées, par vous-même et pour vous même, plus vous vous lèverez chaque matin avec une plus grande motivation que  celle de la veille, car cette nouvelle journée aura aussi quelque chose de nouveau à vous dire. Vous ne vivrez plus une seule journée comme un automate qui va travailler sans aucune autre raison que celle de l’argent, mais vivrez chacune de vos journées pour des valeurs personnelles bien plus élevées, et cette élévation de vos propres valeurs fera de vous un guerrier implacable.

La seconde idée, pour élever votre productivité sans générer de stress, c’est votre engagement personnel

Pour chaque intention mais aussi pour chaque tâche de votre journée, définissez le POURQUOI de ce que vous voulez atteindre en termes d’attente et en termes de rôle. Je m’explique : Vous devez par exemple passer la matinée à finir un dossier pour la réalisation d’un nouveau projet que votre employeur vous a remis la veille et voudrait présenter lors de la prochaine réunion. Regardons 2 manières d’appréhender cette tâche à effectuer et de la conscientiser. 1^{ère façon} : Vous pouvez le faire car il faut que vous le fassiez et le finissiez impérativement à midi étant donné que la réunion est à 14h et que votre employeur va être en rage s’il ne l’a pas. 2ème ^façon :  Vous pouvez définir votre intention comme ceci, par exemple : « Je veux devenir exemplaire dans ma réalisation pour contribuer au développement de ce nouveau projet. Ainsi je remplirai mon rôle, et aurai posé ma pierre de construction dans ce projet. » A votre avis, laquelle de ces 2 façons de penser vous donnera le moins de stress et le plus d’enthousiasme ? En vous fixant vos intentions claires et précises, vous élèverez cette motivation. Il ne vous restera alors plus qu’à tenir votre engagement personnel, quels que soient les obstacles que vous allez rencontrer sur votre route. Seules vos intentions doivent guider vos actions. Ne vous laissez pas perturber ni par les autres ni par quoi que ce soit d’ailleurs.Restez centré sur vous même car vous seul avez créé ces intentions et elles ont du sens uniquement pour vous.

La 3eme idée, pour être un productif  relaxé, c’est de vous créer un environnement le plus vide possible et zen de préférence.

Si vous voulez être calme, sans stress, avoir un vide mental pour avoir les idées claires, vos yeux doivent voir ce vide afin de pouvoir le refléter à votre mental. Ce reflet va éveiller des émotions, des émotions de calme, de sérénité. Alors, n’hésitez pas à optimiser la puissance de votre lieu en libérant, nettoyant, vidant au maximum tout objet inutile. Tout dossier inutile sauf ceux sur lesquels vous devez vous concentrer durant votre journée. D’ailleurs, rappelez-vous les fois ou soudainement vous vous êtes mis à faire du ménage en grand, ou du ménage dans vos affaires… Rappelez-vous les fois où ça vous a pris d’un coup, comme ça… Je vous invite, la prochaine fois que ça vous arrive, à observer et analyser. Vous pourrez constater que vous agirez ainsi car vous avez le besoin de faire le vide dans votre esprit, que vous avez le besoin d’avoir les idées claires, alors vous vous mettez à faire soudainement le ménage extérieurement. N’attendez pas ce moment et faites-le chaque jour, ainsi vous aurez toujours l’esprit reposé.

La 4eme idée Pour etre ultra perfomant sans être stressé est très simple : vous ne pouvez pas tout faire tout seul, donc ayez une équipe avec vous.

Travaillez avec des personnes qui ont les talents qui vous manquent et dont vous avez besoin. Apprenez à vous connaître et à savoir ce qui vous manque, puis construisez une équipe où vous déléguerez vos tâches à ceux qui ont exactement les talents dont vous avez besoin. Par exemple, si vous êtes un expert en informatique, spécialisé en programmation et que vous voulez lancer une nouvelle application, il est clair que vous allez avoir besoin d’un artiste qui sera en mesure de vous faire le design de votre application. Vous aurez besoin d’un investisseur, d’une personne qui saura prendre les risques pour lancer le projet et vous aurez aussi besoin d’un leader pour manager votre team et organiser les deadlines et faire en sorte qu’elles soient tenues. Si vous vous engagez ou ne collaborez uniquement qu’avec d’autres experts en programmation, votre projet risque de passer par des moments très difficiles et même ne jamais voir le jour. Ne choisissez pas votre team par amitié, ou par compassion mais uniquement en fonction des besoins recherchés et des talents de chacun.

La 5eme idée pour booster votre productivité c’est celle de commencer à refuser, à dire NON

A chaque fois que vous êtes d’accord de répondre au téléphone, de répondre à un message, de dire oui à toutes les demandes du moment, cela revient à dire que vous dites OUI aux distractions et que vous dites NON à la réalisation de vos intentions. Donc cela vous écarte de vos priorités. Et ça que ce soit dans votre vie professionnelle, relationnelle ou autre, encore une fois, la façon dont nous nous exprimons dans notre vie professionnelle est le reflet de notre manière de vivre nos autres zones de vie. Il n’y a aucune dichotomie entre elles. Commencez à dire non un peu plus que d’habitude à toutes ces distractions et vous commencez d’une part, à récupérer du temps, et d’autre part, vous serez de moins en moins distrait. De la même façon, ne soyez plus victime du click and go qui veut dire cliquer sans avoir de but précis sur ce que vous cliquez. C’est une perte de temps absolument inutile. Et si vous désirez être plus productif, ou tout simplement dégager plus de temps pour pouvoir mieux contribuer et élever votre croissance personnelle, ce genre de comportement doit être banni tout simplement de vos habitudes.

La 6eme idée, pour ne pas perdre votre productivité, c’est la programmation de vos objectifs

 Avoir des deadlines vous indique votre progression. Marquez dans votre calendrier ce que vous devez faire, avec une date butoir bien définie. Indiquez pour chaque objectif pourquoi vous devez l’atteindre.  Mais attention, ne faites pas de votre calendrier, QUE votre calendrier de travail. Faites de votre calendrier, un calendrier de Vie ! Mettez-y aussi vos dates spécifiques pour votre vie personnelle, vos activités spirituelles, planifiez déjà certaines dates d’intimité avec votre partenaire et engagez-vous à les tenir NO MATTER WHAT quoi qu’il arrive. Pour votre mental quand vous regarderez votre planning, les connexions synaptiques ne seront pas uniquement celles du travail mais aussi celles du plaisir, de l’amour, de l’amitié. Personnellement, j’utilise des couleurs spécifiques par zone de vie, ce qui rend mon agenda coloré et me rappelle que ma vie est une totalité et non pas uniquement 10-12h de travail par jour. Planifier est la seule façon de pouvoir tracer vos progressions et d’y apporter les améliorations nécessaires dans chacune des zones de vie. Là encore, l’idée n’est pas de noter les 24 heures de votre journée, mais les points les plus importants qui ont du sens pour vous et qui vont vraiment faire la différence.

La dernière idée pour gagner en productivité est de toujours être en croissance et en contribution

 La croissance et la contribution sont les besoins humains spirituels les plus importants. Rappelez-vous les fois où vous veniez d’apprendre quelque chose qui vous avait passionné… Rappelez-vous comment vous étiez émotionnellement… Rappelez-vous cette joie intérieure qui vivait en vous… Tout simplement, la vie circulait en vous. Rappelez-vous maintenant les fois où vous avez offert de vous-même, de votre temps, gratuitement, les fois où vous avez apporté votre contribution aux autres, que ce soit vos amis, votre famille, dans votre travail ou durant des actes de charité… Rappelez-vous comment vous étiez nourri intérieurement… Vos actes, durant ces moments étaient teintés d’un sens profond et riche. C’est cette idée que je vous invite à faire vôtre, un peu chaque jour, afin de vivre chaque journée dans ce sentiment de joie, de plaisir. Là encore, pas besoin de poser de grands actes, juste de petites actions.

Par exemple, pour votre croissance personnelle :

prenez juste 30 mn par jour,pour lire quelque chose qui vous motive et qui vous fera grandir psychologiquement et spirituellement. Ou écrivez…

Pour votre contribution par exemple :

regardez comment vous pouvez agir pour donner plus d’amour que d’habitude aujourd’hui à votre partenaire, ou comment vous pouvez rendre joyeux vos collaborateurs par votre joie de vivre ou de nouvelles idées que vous avez appris suite à votre lecture… Ou décidez de donner à manger ou à boire a quelqu’un qui en a besoin, ou d’offrir des vêtements… Peu importe les actions que vous posez. En en posant un peu chaque jour vous comblerez ces besoins et ça vous mettra dans le cycle du plaisir, de la joie, de la richesse intérieure sans cesse renouvelée. Comme vous pouvez le voir, ce sont des idées très simples à mettre en place, mais avec un grand pouvoir de transformation.

1. Si vous décidez dès le matin de prendre les commandes, d’être maître de votre journée et de vous y tenir.
2. Si vous vous engagez personnellement
3. Si vous vous créez un environnement le plus vide possible et zen de préférence.
4. Si vous collaborez avec un team sur mesure
5. Si vous commencez à refuser et à dire un peu plus souvent NON
6. Si vous programmez vos tâches et analysez votre progression
7. Si vous n’arrêtez pas de nourrir vos besoins de croissance et de contribution

 Vous deviendrez sans nul doute plus productif dans tout ce que vous allez entreprendre et  surtout, ne vivrez plus dans le stress. N’hésitez pas à tester ce que vous venez d’entendre, ne le laissez pas à l’état d’idée, s’engluer dans votre mémoire. Le savoir n’aide en rien à la transformation. La connaissance n’amène pas l’action. Essayez, testez, adaptez à votre vie et vous observerez de vrais résultats. Nous serions heureux de lire votre commentaire et de savoir comment cette article a résonné en vous. Je vous invite à le partager afin d’apporter votre contribution à tous ceux qui selon vous, pourraient en avoir besoin. Si vous souhaitez recevoir nos prochaines clés de coach, merci de vous abonner ci dessous, et en attendant, continuons à apprendre évoluer et partager ensemble.

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