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]]>La crise du COVID, avec la pression du confinement, l’arrêt économique quasi mondial, les mesures draconiennes et limite dictatoriales envers les citoyens, a créé plus de dégâts collatéraux que de dégâts dus au virus lui-même.
Dans cet article, nous allons principalement parler des dégâts que cette manipulation politique a causés dans les relations de couple.
J’espère que les hommes politiques verront cette vidéo afin qu’ils se rendent compte que certaines de leurs actions ne sont pas sans conséquence dans la vie de certains couples et citoyens de leur pays. Je vous rappelle au passage que sans les citoyens et les citoyennes votant pour vous, vous n’existez plus. Et ce que je vais dire n’engage que moi. Ce serait bien que vous n’existiez plus.
Des chiffres qui bousculent les couples. Tout d’abord, en moyenne, d’après l’INSEE 219 000 femmes seraient victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur conjoint par an. Lors du confinement, les violences conjugales ont augmenté de 30% sur tout le territoire français. Ce qui représente sur 2 mois de confinement + 36 500 cas de violences conjugales en plus ! C’est plus que le nombre total de morts comptabilisés pour le virus en France depuis le début de la pandémie, le jour où j’enregistre cette vidéo qui est de 28 883.
Je déplore les morts bien sûr, seulement je voudrais tout de même signaler que la souffrance d’un être vivant peut se répéter chaque jour et des vies entière peuvent être détruites à cause d’elle.
De plus, ce confinement a eu aussi un effet miroir. Et oui, pour la 1ère fois, on reste 24h/24 avec celui ou celle avec qui on a décidé de vivre. Situation pratiquement exceptionnelle surtout quand on est enfermé dans 50m² ou moins.
Résultat, on découvre l’autre et parfois pour la première fois. Plus possible de se mentir. Pire encore, les moments de break, où l’on pouvait souffler quand chacun vaquait à ces activités n’existent plus.
Bref, il y a eu une confrontation violente avec soi-même et ces questions :
Et là, BOOM la sentence est tombée. Rien qu’en France, les demandes de divorces et les séparations éclatent de partout. D’ailleurs, les requêtes de garde d’enfant et pension alimentaire posées au tribunal dès aujourd’hui ne seront pas prises en compte avant février 2021. Ce qui montre ce taux exponentiel de cas de ruptures.
Mais ce n’est pas qu’en France, en Russie et en Chine les demandes de divorces explosent aussi. De plus, en Espagne, on parle même du COVIDIVORCE et au Japon, ils avaient anticipé en créant des refuges temporaires pour éviter les divorces car ils n’avaient pas confiné les gens.
En fait, cela se passe sur l’ensemble de la planète, là où il y a eu du confinement. Effectivement en moyenne nous agissons toutes et tous de la même manière. Nos cerveaux sont identiques, notre psychologie est très similaire surtout dans les mouvements de foule, de peur, d’anticipation.
Nous nous ressemblons tous. En effet, quel que soit notre lieu de naissance, nos us et coutumes, nous faisons partie de la même espèce c’est à dire les humains ! Avec nos différences mais surtout nos ressemblances (pour le meilleur et pour le pire, j’en parle d’ailleurs dans ma dernière vidéo : Comment se réinventer psychologiquement en 2020 ?
Mais ce n’est pas tout : Il y à l’activité sexuelle qui en a pris un sacré coup aussi.
Eh bien oui, le stress, l’angoisse, altère considérablement la libido. Les rapports sexuels ont subi une chute de -25% sur une durée de 1 mois.
Quand on sait que d’après une étude publiée dans national library of Médecine, nous avons en moyenne 8 rapports sexuels par mois et qu’un rapport moyen dure 5 minutes et 40 s…( Et bien oui, ça va de 33 s à 44 minutes et il y a même eu une exception qui a duré 6 s mais on la compte pas…).
Bref, ça a donc dégagé en matière de temps, sur 2 mois, après un savant calcul…entre 4 minutes et 6h30 pour se regarder dans les yeux et stresser encore plus au lieu de prendre du plaisir.
C’est une bonne question… Et bien … Bien sûr, ce n’est est pas à cause des hommes politiques… Eux, ils prennent toujours les bonnes décisions… ils ont fait un travail exemplaire, exceptionnel même, pour gérer cette crise du COVID19 et ont toujours su prendre les bonnes décisions pour le bien-être de leurs citoyens… Non, je déconne !
En fait c’est à cause du virus lui-même. Effectivement, c’est à cause de cette pandémie que les couples explosent… Il est entré dans l’espace de la raison du cerveau de certains couples et il a tout contaminé, puis en plus de cela, la peur de se faire contaminer par l’être que l’on aime a eu le dessus… Satané COVID… il en fait des dégâts. … Non ce n’est pas vrai, je rigole !
Le réel problème, c’est à cause des flics… Blancs … Qui verbalisent pour rien. Ils tapent sur la tête de n’importe qui, ils tuent même maintenant tout le monde sans aucune raison juste parce qu’ils se croient tout permis (surtout si vous êtes de couleur). Repose en paix George Floyd… et que ton histoire puisse permettre aux forces de l’ordre de se regarder un peu en face et de prendre conscience de leur dérive. Je rappelle juste au passage qu’un flic ce n’est pas fait pour tuer, mais pour protéger. Mais alors, à qui est la faute ?
Et bien non, vous l’avez bien compris… tous ces articles ne tiennent pas la route. Ils font porter le chapeau au confinement, au COVID19 alors que la réelle cause, n’est-elle pas un manque d’honnêteté avec soi-même sur sa relation, au préalable ?
Le confinement n’a été qu’un accélérateur, un déclencheur de vérité qui a permis pour certains, de prendre enfin conscience qu’ils n’étaient pas avec la bonne personne.
Par ma propre expérience d’accompagnement de couple en coaching privé, j’ai pu observer que chacun savait très bien si leur couple avait encore du sens ou pas. Mais seule la peur de l’inconnu les tétanisait et les empêchait de prendre la décision de se séparer. (Je parle aussi de ce phénomène de peur dans la vidéo comment se réinventer en 2020 psychologiquement.)
Et pour vous, femmes violentées, j’espère que vous saurez prendre les bonnes décisions, celles de vous entourer si possible des bonnes personnes ou d’aller vous faire aider auprès d’organismes et d’associations dédiées à la prévention des violences conjugales et de quitter votre agresseur.
Je vous mets d’ailleurs une liste d’associations que vous pouvez contacter dans la description.
Il n’y a qu’une seule recette miracle pour avoir un couple solide : « Restez uniquement avec la bonne personne et ensemble entretenir la relation chaque jour psychologiquement, spirituellement et sexuellement chaque jour encore et encore. »
Il est essentiel aussi de se poser les bonnes questions:
Posez vos valeurs de vie à deux, quelle que soit votre relation Homme -homme / homme – femme ou femme-femme cela ne fait aucune différence. Ce qui compte, c’est le respect de vous-même en priorité.
Quand on n’aime plus l’autre, c’est nous-mêmes que nous n’aimons plus. Car l’autre nous renvoie le reflet de nous-mêmes. Si vous arrivez à intégrer cela dans votre vie quotidienne, vous pourrez alors rapidement transformer votre relation de couple, non plus en accusant l’autre, mais en vous reconnectant à vous, en modifiant le regard que vous avez sur vous-même. Cela changera votre manière d’être et modifiera alors par voie de cause à effet vos actions et touchera l’autre par ce même effet miroir.
Et si malgré cela, votre conjoint ne vous respecte toujours pas… alors dites-lui qu’il y a presque 8 milliards d’autres âmes qui sont là sur cette terre, donc il doit bien y avoir celle qui vous correspond.
J’aime dire : comment trouver son âme jumelle si nous ne nous rendons pas libres pour elle ?
Autorisez-vous à être heureuse, à être heureux, ne vous encombrez-pas d’un être qui va vous pourrir la vie, vous faire souffrir, psychologiquement, physiquement et vous empêcher de vivre votre vie.
Ne faites pas des choix par peur : peur de vous retrouver seule, peur de souffrir, peur de ne plus rencontrer quelqu’un à cause de votre âge ou de votre situation financière, … ou tout autre peur…
Non, faites le choix de l’amour. L’amour pour vous-même d’abord est le respect de votre être le plus profond. Vous n’avez pas à prendre le poids de l’autre sur vos épaules si l’autre ne veut pas être heureux ou partager son bonheur et sa joie.
En choisissant la voie de l’amour, vous vous engagez sur le chemin des possibles, de tous les possibles. Oui, cela peut faire peur, oui cela vous amènera dans votre zone d’inconfort, oui cela peut être incertain… mais dans cet espace mystérieux, tout peut arriver.
Dans l’autre voie, la voie de la peur, vous savez déjà ce qui va se produire. (J’ai d’ailleurs fait une vidéo uniquement à ce sujet.)
Le monde d’aujourd’hui et celui de demain vont devenir un enchainement de crises à répétition, qui de manière successive vont créer un ou des effondrements. Et au milieu de ces effondrements, la présence d’un partenaire solide, par l’amour partagé, la reconnaissance de qui vous êtes, le respect de vos valeurs, de vos rêves, vous permettra de passer ces périodes difficiles et fragiles avec une meilleure force mentale.Car l’amour est le plus puissant des alliés. Et l’amour partagé est la plus puissante des énergies.
Si vous voulez aller plus loin dans la réflexion sur votre couple, si vous voulez vraiment répondre aux bonnes questions et ne plus vivre dans l’ombre de vous-même, je vous propose de venir nous rejoindre au webinaire gratuit que je propose, et de la même manière que je pourrais le faire en séminaire ou en cession de coaching de couple ou privée, vous allez travailler en créant la carte de votre monde relationnel, de votre univers de couple et préparer vos actions pour demain.
Vous ne pourrez plus vous mentir. Ainsi vous pourrez prendre vos décisions de vie à deux, en tout état de cause.
Le titre du dernier webinaire est : Comment se réinventer psychologiquement ?
Nous étions plus de 500 personnes. Celui-ci est : Comment se réinventer relationnellement en 2020 ?
Je vous y attends, c’est gratuit. Cliquez ici
Si cet article vous a permis de prendre conscience de vous-même et du véritable état de votre relation de couple alors j’en suis le plus heureux.
Il n’y a rien de plus gratifiant dans la vie que d’aimer quelqu’un et de se sentir aimé au quotidien.
Personnellement, je ne remercierai jamais assez l’ange qui partage ma vie et qui jour après jour, me donne l’énergie nécessaire pour offrir le meilleur de moi-même. Elle s’appelle Gati, je l’appelle Sayang.
Et à la question : « Si vous deviez avoir un autre partenaire de vie, vous le ou la voudriez comment ? » ma réponse est : « La même qu’aujourd’hui ! » sans aucune hésitation.
Merci de m’avoir lu…
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]]>Ne rien faire, attendre, ne pas se projeter, ne pas revenir en arrière, être juste dans l’ici et maintenant ; je ne peux pas ! Je dois faire quelque chose !
C’est sur ce principe que nous sommes devenus esclaves, esclaves des autres mais surtout esclaves de nous-mêmes.
L’ennui est un élément indissociable de la condition humaine. L’homme est un être qui s’ennuie parce qu’il est doté de la conscience de lui-même, la conscience de sa naissance et de sa mort (même si beaucoup d’entre nous mettent cette question de côté jusqu’à la dernière minute).
Cette conscience nous inscrit dans un rapport particulier au temps.
En Occident, à partir de l’époque moderne, l’homme s’attache par toutes ses activités, à fuir l’ennui. Mais que fuit-il ? Que fuyons nous vraiment ?
Tromper l’ennui, c’est tromper notre condition humaine, c’est en tant qu’humain, se tromper soi-même. Toute la question est de comprendre comment cela est possible.
Vous comprendrez alors pourquoi depuis ces dernières décennies, la chose qui a pris le plus d’importance dans nos vies, c’est le divertissement : moyen général de tromper l’ennui qui est un aspect de cette pathologie humaine nommée mélancolie. Et ce divertissement massif avec ses jeux vidéo puis sa musique. Mais encore ses réseaux sociaux, son tourisme et sa mode. Sans parler de ses soldes, ses fêtes et son travail. Ce divertissement massif avec sa télé et sa radio, ont constitué et constituent encore une menace pour la nature humaine. C’est cette menace que nous allons aborder comme un traité philosophique, dans cet article en 5 points.
Parler de l’ennui, c’est parler de l’humain.
Le lien qui unit étroitement l’ennui à la condition humaine est forgé par deux éléments : la conscience et le temps.
Nous ne pouvons vivre et nous penser vivre, en même temps. Soit nous vivons sans voir le temps passer, soit nous percevons le temps qui passe sans pouvoir intégrer son cours. La vie, en pleine conscience semble ralentie ou arrêtée. Tous ceux et celle qui pratiquent la méditation le savent. Personnellement, je parle de la dilatation du temps.
Avoir conscience du temps, c’est avoir conscience d’être mortel et que ce moment se rapproche un peu plus chaque jour, chaque heure ou chaque minute suivant notre condition de vie.
Cette notion de mortalité nous indique alors une limitation dans nos actions, de part cette notion de temps elle-même. Nous avons l’impression que nous ne pourrons jamais faire ce que nous voulons faire, ou qu’une action ne pourra jamais être menée à temps.
De ce fait, soit nous nous enfermons dans un mutisme, une sorte de fatalité. Ou alors nous regardons ce moment présent comme un moment incroyable, un instant magique où justement tous les possibles existent.
Puis, il y a ceux qui ne se préoccupent pas de leur dimension mortelle et qui vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir. Mais à votre avis, peuvent-ils vraiment vivre sans penser à leur condition d’être mortel ? Jamais ?
Non ces êtres n’évitent pas leur condition, mais ils la trompent. Ils trompent l’ennui. Ils se créent une illusion de vie.
La conscience du temps, de son temps de vie est une des clés les plus importantes qui permet à des êtres, d’avoir une force mentale, une force psychique supérieure à d’autres.
NON !
Vous seriez heureux et heureuse. Pourquoi ? Parce que vous découvririez la futilité de ce jeu, la futilité de ces même personnes et vous prendriez tout avec légèreté. Seul un sourire de compassion serait sur vos lèvres car vous comprendriez à ce moment qu’eux aussi ne sont que des pions d’une grande farce puis qu’ils cherchent eux aussi à tromper l’ennui, jouant un jeu dont il ne connaissent ni les règles ni le but.
D’ailleurs, n’est-ce pas pour cela que nous avons créé : Des règles car nous ne comprenons pas les règles. Oui ces êtres cherchent à se tromper eux-mêmes.
Etre dans l’action et agir. Bouger, créer puis évoluer. Mais encore commander et réprimander. Enfin, projeter et spéculer. Telle est la manière d’être de l’homme et de la femme.
Ne pouvant demeurer au présent, ni au repos, nous nous inscrivons tout d’abord dans la représentation puis dans le théâtral et nous nous rendons présent par l’apparence puis par le regard de l’autre en nous nous appropriant ce regard comme faisant partie intégrante de notre identité. Cette identité qui elle-même se transforme à chaque seconde mais sur laquelle beaucoup d’entre nous se cristallisent. C’est d’ailleurs le cœur de l’une de mes formations Self Mastery la Maîtrise de soi.
Par conséquent, les nouvelles formes identitaires de ces mêmes personnes ne peuvent jamais émerger. Et année après année, elles restent les mêmes et disent les mêmes mots. Elles aiment les mêmes choses puis ont toujours les mêmes habitudes.
Si un jour on vous dit : « Tu n’as pas changé, tu es toujours le même. » alors prenez peur…
Cependant, le fait de ne cautionner que la représentation et l’image de l’autre par exemple, montre notre incapacité à avoir un regard personnel, susceptible de donner consistance à notre être.
Le philosophe allemand Martin Heidegger décédé en 1976 a écrit « Comment sommes-nous devenus nous-mêmes à ce point, insignifiants de nous-mêmes que nous ayons besoin d’un rôle ?
L’homme ne serait pas après tout, devenu ennuyeux à lui-même ?
L’ennui nous ramène à nous-mêmes. Lorsque vous êtes confiné chez-vous, à quoi pensez-vous ? A vous, à votre vie, au sens de votre vie n’est-ce pas ? Mais creusez-vous ces questions jusqu’à les dérouler afin qu’elles viennent s’arrêter sur le mur qui représente le jour de votre mort ?
Par exemple : vous voulez vivre pour éveiller les consciences humaines et pour sauver la planète ou afin de créer un nouveau monde. Est-ce que vos idées s’arrêtent à votre réflexion ou est-ce qu’elles vont s’immiscer dans chacune de vos cellules pour devenir omniprésentes dans votre vie afin que vous puissiez, au terme de celle-ci, mourir en paix, en accord avec vos valeurs et heureux d’avoir contribué à rendre ce monde meilleur ?
Trop souvent, nous évacuons ces pensées en faisant quelque chose d’autre. Ne rien faire est la pire des choses dans nos vies, n’est-ce pas ?
Tromper l”ennui c”est donc, d’une certaine façon, se tromper soi-même. C’est également tromper la connaissance que l’on a de soi.
D’ailleurs étymologiquement, le terme ennui est lié au verbe « ennuyer», qui serait lui-même dérivé du bas latin inodiāre, venant de l’expression in odio esse qui signifie « être un objet de haine ».
Cette hypothèse bien connue en philosophie prend sa source dans cette origine sémantique.
L’ennui renvoie à la haine, et plus fondamentalement à la haine de soi. Donc quand nous n’avons plus rien à faire, nous sommes confrontés à nous-mêmes, au meilleur comme au pire de nous puis à nos joie et nos peurs. Mais encore à notre finitude et notre condition de mortel. Et nous décidons de fuir…
Mais pourquoi nous attachons-nous à fuir ce à quoi nous ne pouvons échapper ?
Le divertissement désigne toutes les manières dont nous fuyons l’ennui. C’est le plus souvent associé aux activités frivoles qui nous permettent de nous soulager de la lourdeur des tâches sérieuses, de nous libérer un instant du quotidien.
Se divertir, c’est oublier ses soucis en se changeant les idées et se délasser. Mais de manière plus profonde, se divertir, c’est oublier ce sens de l’existence qui nous échappe. Mais encore , c’est oublier notre finitude tout comme l’insignifiance de nos actions quotidiennes. C’est oublier surtout, que notre temps de vie est donné à des personnes qui ont écrit des lois dictant nos manières de vivre. Elles ont même découpé le temps en petites cases afin que nous puissions le voir défiler.
Vous qui êtes confinés ou qui l’avez été, le jour où vous regardez cette vidéo, n’avez-vous pas retrouvé un autre temps lors du confinement : peut-être un décalage dans vos journées, dans votre manière de travailler, vos horaires pour manger ou faire du sport ? N’avez-vous pas, après quelques semaines, créé votre propre temps qui ne correspondait plus au temps de la société qui nous est imposé ?
D’ailleurs , pourquoi commencer le travail le matin pour le finir le soir ? Est il nécéssaire de manger entre midi et deux ? Pourquoi chacun ne se donnerait-il pas son propre temps tel qu’il le conçoit, tel qu’il le ressent ?
Se serait difficile me diriez-vous … Oui, c’est vrai car la société dans laquelle nous vivons s’est construite ainsi. Mais n’existerait-t-il pas d’autres modèles de société ?
Regardez par exemple : l’ile norvégienne Sommaroy propose d’en finir avec ce concept futile et inutile qu’est le temps. Ses habitants veulent faire la première zone « sans heure » au monde. Juste une réflexion sur un monde qui va trop vite et qui utilise tous les divertissements possibles « de l’esprit » pour nous faire rentrer dans cette course folle contre la montre, perdue d’avance.
Étymologiquement, le terme divertissement, d’origine latine, désignait l’ action financière consistant à détourner à son propre profit, une part de l’héritage.
C’est donc le fait de détourner. Mais détourner de quoi ?
Se présente alors la question du jeu. Le plus grand jeu est le jeu psychique, le jeu social par exemple qui nécessite l’adhésion à des règles arbitraires et plus globalement, le jeu de dupes dans lequel l’humanité semble embarquée.
L’étymologie de l’ennui montre un aspect terrible de la condition humaine : la haine de soi. Et l’étymologie de divertissement répond à cet aspect horrible de la condition humaine : se détourner de soi par le divertissement de l’esprit, de quelque manière que ce soit.
Cette haine de soi surgirait lorsque l’humain s’ennuie, c’est à dire lorsqu’il est face à lui- même, sans médiation.
Alors faut-il comprendre que la vérité à laquelle ramène l’ennui engendre la haine ? Cette haine ne nous ramènerait-elle pas à la philosophie de Siddhârta Gautama, le Bouddha historique ?
Pour Bouddha, la souffrance fait partie de la vie et en trouvant les causes de cette souffrance, nous pouvons emprunter le chemin qui mène à la paix du coeur.
Faut-il comprendre que cette vérité est ce qui nous pousse à courir de plus en plus vite et de plus en plus nombreux, vers tout un tas de choses qui ne servent à rien d’autre que tromper l’ennui, en nous évitant de faire ressortir la haine en nous ? Et si cette vérité nous permettait de nous affronter nous-mêmes dans le plus grand silence, de nous confronter à notre souffrance, celle de l’ignorant de l’existence et de dépasser notre haine pour laisser émerger le plus beau en nous ?
Ainsi, que resterait-il de toutes ces pseudo lois plus ou moins dictatoriales ? Que resterait-il des dirigeants, des hommes puissants qui veulent nous contrôler ? Rien ! Envolés en fumée, disparus !
Mais non, ce n’est qu’une utopie. Reviens à la réalité Mika !
Alors pour cacher ce désarroi, ne construisons-nous pas du bonheur dans nos vies ?
Ce Bonheur est une construction mentale que nous avons choisie ou qui nous est suggérée ?
Faisons une petite synthèse : un passé qui n’existera plus et un futur qui n’est jamais là puis un présent que l’on fuit par peur de se rencontrer soi-même. Pouvons-nous vraiment être heureux ?
Dans de ce décalage entre une vie présente jamais ressentie dans son entier et une vie idéalement heureuse, il y a l’espoir. N’est-ce par cet espoir que l’on nous offre encore et encore en nous proposant d’aller toujours plus loin, avec des nouvelles lois et des nouvelles technologies puis des nouvelles modes?
Mais tout ça alors, n’est-ce pas une grande illusion, puisque, dès l’arrivée d’une nouveauté, nous pensons que ce que nous avons là, maintenant, n’a plus de sens, a perdu de la valeur et ne nous rendra plus heureux demain…
Dans cette dynamique, nous ne serons jamais vraiment heureux, car une fois que nous aurons atteint ce après quoi nous courrons, l’objet de nos désirs sera déjà dans un temps passé et nous serons à nouveau face nous-mêmes avec cette grande question : quoi faire du temps qui nous est imparti ?
La philosophie et la mécanique politique occidentale sont fondées sur l’idée que l’avoir est préférable à l’illusion. L’avoir et l’avoir plus, serait le plus sûr moyen de parvenir au bonheur.
L’ennui a une place paradoxale au sein de la société : il est refoulé, répondant à un désir caché et trop dangereux pour être assumé. Mais que nous empêche-t-on d’aller explorer en nous refusant la confrontation à nous-mêmes ? Quelle est donc cette vérité bonne à méconnaître ?
L’ennui serait donc quelque chose d’immuable à l’être humain, une sorte de permanence en lui. L’ennui serait la source de la pathologie de la mélancolie.
Si le divertissement est un moyen d’échapper à l’ennui, l’ennui marque la fin du divertissement. Le divertissement n’est qu’un moyen, il ne divertit que par le fait qu’il détourne et seulement par ce fait. L’ennui fait état de ce qui est, tandis que le divertissement tend à autre chose, tentant de faire état de ce qui n’est pas.
L’actualité, par les différents médias, nous donne un exemple du rapport que l’homme entretient avec le temps. L’ennui est un problème actuel dans le sens où il est permanent.
Les informations prennent aujourd’hui une place considérable dans notre environnement où les médias sont privilégiés et omniprésents. La télévision, la radio et les journaux. Mais encore l’ordinateur, et le téléphones avec les sms puis les réseaux sociaux … Ces outils intègrent désormais tous les espaces de la vie humaine.
Mais cette importance est remarquable par le fait que le contenu relaté dans ces médias n’est pas l’objet recherché. L’actualité ne s’attache plus tant à la signification des événements, c’est à dire à leur sens profond, qu’aux faits eux-mêmes. L’objet de l’actualité n’a d’importance que dans son actualité même. Elle se résume au transfert d’informations sans signification et ne vaut que par sa dimension quantitative.
D’ailleurs nous le voyons bien, l’accumulation d’événements détachés les uns des autres qui se déroulent en continu devant nos yeux ou dans nos oreilles constitue l’univers du divertissement. Les informations nous divertissent en manifestant un changement qui n’est qu’apparent. L’information est renouvelée sans cesse par un discours hypnotique donnant corps à une succession de faits qui n’invite pas à la réflexion mais endort l’esprit.
D’ailleurs, le métier de journaliste aujourd’hui est devenu accessible à n’importe qui. Et l’on peut alors voir germer des chaines you tube, des blogs de personnes qui ne sont pas journalistes et qui apportent bien plus d’informations pertinentes qu’un journaliste qui cherchera à produire un article de plus et à conserver sa place.
Mais nous pouvons avancer que l’actualité sera toujours ennuyeuse dans le sens où elle ne fait que montrer l’échec à relater le changement. Regarder les informations n’est pas tant s’informer que se divertir, se détourner de l’instant dans lequel nous sommes en permanence. Et comme toutes les chaînes d’informations disent la même chose avec d’autres images ou d’autre mots, l’ennui pointe le bout de son nez avec l’impression de déjà-vu.
Nous pouvons nous demander s’il vaut mieux suivre des images qui défilent à l’écran, comme si l’on prenait des doses de cocaïne, des tenus en haleine devant un rebondissement fictif, et un avenir imminent, une nouvelle qui va changer notre vie, ou bien nous ennuyer ferme devant la vérité criante d’une réalité immuable qui est la nôtre et qui échappe à nos désirs.
En fin de compte, dans les deux cas, nous choisissons l’ennui. Seulement dans le1 er cas nous perdons le contact avec la réalité, comme si nous prenions de l’héroïne pour sortir de la lourde réalité, alors que dans le second cas, nous prenons du LSD pour nous affronter et nous découvrir.
Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski, était considéré comme un des plus grands romanciers russes. En 1849 il a été condamné à mort, mais au dernier moment il fut gracié. Il était persuadé qu’il allait mourir. Essayons de nous mettre dans son esprit, quelques minutes avant sa mort.
Quand il fut amené au poteau pour être fusillé, après avoir embrassé la croix que lui tendait le prêtre, il devait lui rester cinq minutes à vivre. Et ces cinq minutes « lui paraissaient un délai infini, une richesse incroyable». La brièveté du temps qui lui restait à vivre, dévoilait une longueur de temps dans laquelle il lui était possible de se poser.
Imaginez-le calculer :
” 5mn: Il me reste deux minutes pour dire adieu intérieurement à ceux que j’aime, une minute pour revoir ma vie et deux minutes pour réfléchir sur le sens de ma vie. Comment se fait-t-il qu’en ce moment, j’existe et que je vis puis que je me sens pleinement vivant comme jamais je ne l’ai été auparavant et que dans 5 minutes, je serai autre CHOSE – je serai ailleurs, je ne serai plus de ce monde .
Mais je serai qui ? Je serai quoi et où serai-je ?
4mn : Et s’il ne fallait pas mourir ? Et si l’on me ramenait à la vie ? Pourquoi cela doit-il finir ainsi ? La vie est incroyable, elle est riche, remplie de mystère. Quel gâchis ! Je ne le vois que maintenant !
3 mn : Le monde autour de moi devient différent, tout prend sens, pourquoi me suis-je perdu dans tant de futilités ? Pourquoi n’ai-je pas suivi la voix de mon cœur ?
2mn: Je ne gaspillerai plus rien, je le promets, laissez-moi vivre et je ne gaspillerai plus ce temps, je ne suivrai plus ce qui m’est imposé et je ne vivrai plus dans la peur puis je ne combattrai plus l’ennui. Je serai moi chaque jour.
1mn : Ok, que ça aille vite alors, n’attendons plus, que ça arrive le plus vite possible maintenant, laissez-moi partir, vite, maintenant ! »
Mais voilà qu’il est gracié !
À l’instant où il était certain de mourir, il est autorisé à vivre ! A-t-il profité de chaque dernière minute ? A-t-il vécu chaque instant pleinement, les a-t-il respirés ? Et bien non, il les a encore perdus car il semble « impossible de vivre, chaque moment présent ».
Dans ses derniers instants de vie, le condamné ne peut que tenir compte de sa vie toute entière. Il est au présent oui, mais au présent des choses passées, présentes et à venir.
Dostoïevski remarque d’ailleurs qu’un condamné ne s’évanouit presque jamais face à la mort. Dans un de ses livres, il a écrit ceci :
« Au contraire, C’est terrible comme votre tête est pleine de vie, Comme elle travaille, sans doute, fort très fort, ressemblant une locomotive en mouvement . Les pensées défilent. Vous savez tout, vous vous rappelez de tout ; c’est un moment particulier ; pas le moindre moyen d’oublier et pas possible de s’évanouir ! ».
Ce que nous raconte cette histoire vraie, c’est que nous perdons notre temps à courir après des futilités, nous perdons notre temps de vie à courir après les rêves et les désirs des autres. Nous nous perdons nous-mêmes à ne pas oser affronter notre colère et la haine cachée en nous et c’ est regrettable parce que l’énergie de cette colère, de cette haine de soi nous permet de transmuter toutes nos peurs et nos incohérences puis nos doutes et notre ignorance en forces et amour.
Cela demande du courage pour être soi. Cela demande du courage pour vivre selon ses valeurs. Accepter les lois et les règles des autres si elles ne correspondent pas à nos valeurs demande du courage.
Ce courage, c’est regarder en face notre propre mort et faire chaque jour comme si c’était le dernier jour. Cela nous demande de comprendre que notre vie n’est pas inutile sauf si nous ne faisons rien d’autre que suivre ce qu’on nous demande d’apprendre, de dire ou de faire.
Le drame de l’humanité est bien celui-ci. Elle souffre du syndrome de l’inutilité car elle ne s’est pas encore réveillée à elle-même. Pour que cela puisse se produire, nous devons toutes et tous, nous confronter à nos 5 dernières minute de vie.
Allons-nous attendre que cela arrive ou allons-nous l’anticiper ?
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]]>L’article Préférez-vous la voie de l’amour ou de la peur ? est apparu en premier sur Blog de Soul in a Mind.
]]>Nous vivons notre vie en suivant deux lignes : ou nous faisons les choses pour avoir du plaisir, ou nous faisons les choses pour éviter de souffrir.
Seulement, ces deux lignes sont subordonnées à deux autres lignes : vivre dans la peur ou vivre en amour.
J’aime aussi le dire ainsi : choisir la voie de la peur ou choisir la voie de l’amour.
Le point essentiel entre ces deux choix, c’est que d’un côté, lorsque l’on choisit la voie de la peur, on arrive toujours à un mur et on se demande à un moment donné : pourquoi ? Mais pourquoi est-ce que j’ai choisi ça ?
L’autre choix, la voie de l’amour, souvent, au départ, c’est un petit peu plus difficile. Mais pour ceux qui ont su s’écouter, ils comprennent un moment donné ou un autre qu’ils ont fait exactement le bon choix et qu’il n’y en avait pas d’autres.
Et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui dans cet article.
Qu’est-ce que c’est que le choix de la peur ?
Cela ne va pas être très difficile d’en parler puisqu’on baigne dedans depuis notre enfance.
En fait, on nous a conditionnés à toujours choisir la voie de la peur.
Ça a commencé lorsque l’on était avec nos parents.
Nos parents nous disaient par exemple : «Attention ! Si tu ne fais pas ça, tu vas avoir une fessée ! ».
Tu ne regarderas pas la télé, tu ne mangeras pas ceci etc…
Donc, on nous a enseigné depuis notre plus jeune âge le fait que si l’on ne fait pas quelque chose qui est en correspondance avec ce que l’autre veut, eh bien ça va aller mal pour nous. Du coup, on a appris la peur.
À l’école, c’est aussi la même chose. On nous a appris la peur, en tout cas, la peur du regard de l’autre, par exemple par le système de notes. Si on a en dessous de la moyenne de la classe, eh bien, on va être jugé comme quelqu’un qui ne fait pas partie de la norme.
Si on est vraiment en dessous de la moyenne, comme cela a été mon cas avec les cours de français, (ma prof s’appelait Mme Colosse en Martinique, j’avais des notes d’à peu près de moins deux de moyenne en français), on est jugé comme hors normes de la norme. Et pour certaines personnes, ça peut faire peur.
On nous a dit attention, si tu ne travailles pas, tu n’auras pas de bonnes notes, tu ne pourras pas passer d’examen et tu auras une mauvaise vie. Tu ne vas pas gagner d’argent et tu ne te marieras avec personne, tu vivras seul.
Dans notre vie au quotidien, c’est aussi la même chose. On nous enseigne la voie de la peur.
Les informations nous transmettent de la peur à longueur de journée. On est attiré par la peur. Si on parle de choses qui font peur, on va être beaucoup plus attiré par la peur.
Pour les news ou même les titres dans les journaux, plus un titre est fort et puissant, plus il va avoir de l’audience.
Donc, ce que je veux dire par là, c’est que la peur, on baigne dedans, ce qui fait que la plupart du temps, on la choisit par voie de facilité. Pourquoi ?
On connaît la peur, et comme on connaît ce sentiment de peur, ça devient une zone de confort pour nous et donc on va plus facilement choisir cette voie.
Je vais vous donner un exemple : vous voulez acheter un nouveau smartphone et aujourd’hui, il y a moins 30% et vous vous dites qu’il faut l’acheter maintenant parce que sinon, demain, les soldes vont finir. C’est lavoie de la peur !
Dans votre couple par exemple, vous pouvez vous dire qu’il faut à tout prix que vous fassiez ce repas-là, sinon, votre chéri va être fâché. C’est la voie de la peur !
Ou encore, rappelez-vous les fois où vous vouliez dire, quelque chose à votre femme ou à votre mari ou partenaire. Vous vous disiez : « Oui, il faut à tout prix que je lui dise cela parce que là, ça ne va plus. Il faut qu’il entende ça ! ». Et puis, vous êtes prêt à parler. Seulement, dans votre tête, dans votre esprit, dans vos pensées, vous êtes en train d’imaginer des scènes de dispute, de colère, de conflit. Du coup, vous vous retournez et ne dites rien. C’est la voie de la peur !
Dernier exemple, au travail, si vous voulez demander quelque chose à votre patron, une augmentation par exemple et que vous ne lui parlez pas, vous n’osez pas aller l’affronter : c’est la voie de la peur et vous n’aurez jamais l’augmentation…
On sait très bien, on le sait intérieurement, lorsque l’on choisit la voie de la peur, on s’éloigne de notre bonheur, donc on s’éloigne de la première ligne. Rappelez-vous, on vit au fil de nos actions, soit pour avoir plus de plaisir, soit pour éviter de souffrir. Cependant, on fait beaucoup plus d’actions pour éviter de souffrir que pour avoir du plaisir. Nous étudions cela en profondeur en séminaire ou lors de l’Académie parce que c’est un long sujet.
Si vous vous amusez à faire l’expérience et à regarder toutes les petites décisions que vous prenez dans votre vie, vous pouvez voir à quel point vous prenez des décisions en suivant la voie de peur.
Mais pour la religion, c’est pareil. Par exemple, on a construit des temples pour y mettre Dieu dedans. Super ! Au moins comme ça, on sait où il est 🙂 !
Mais rappelez-vous.
Si on regarde la façon dont se comportait Jésus à l’époque, il était rebelle aux normes. C’était un rebelle aux traditions, un rebelle aux religions.
C’est la première personne, le premier coach qui a dit que Dieu, que la source divine, se trouvait n’importe où et en tout cas en soi, et absolument pas enfermé dans une église, ou dans une synagogue, ou bien une mosquée ou tout autre temple.
Lorsqu’on s’approche d’un de ces temples, il y a une forte énergie. Mais tout de suite, on peut voir les gens qui ont une sorte de crainte et de peur.
Ma question : pourquoi avoir peur de Dieu ? Pourquoi ne pas s’exprimer tel que l’on est dans une église ? Pourquoi ne pas s’habiller tel qu’on le désire ?
Dieu est partout, la divinité, la source suprême se trouve partout.
Donc lorsque vous êtes religieux et qu’à un moment donné, vous avez une crainte de la punition, la crainte de ne pas aller au paradis, il serait bon de vous poser la question à savoir dans quelle voie vous vous trouvez.
Votre vie peut devenir un paradis si vous changez vos pensées. Donc, on voit bien que la voie de la peur est présente partout , elle est présente en nous et à 90%, c’est le chemin que nous choisissons puisque c’est un chemin qui est facile.
Par voie de cause à effet, la voie de l’amour, c’est tout l’opposé de la voie de la peur. Il est clair que l’on a compris que la voie de la peur était une voie de facilité. C’était la voie où l’on restait dans notre zone de confort.
Donc effectivement, choisir la voie de l’amour, c’est aller en dehors de notre zone de confort.
Si vous avez compris que la voie de la peur, c’est la voie pour rester dans notre zone de confort, vous comprenez maintenant, que la voie de l’amour, c’est mettre un pas dans notre zone d’inconfort.
Mais plus on rentre dans la zone d’inconfort, plus notre zone de confort s’élargit et plus on se sent bien partout et de mieux en mieux. C’est à ce moment précis que vous êtes prêt à faire des choix, des actions qui auront une valeur profonde pour vous. Vous les ferez sans crainte car vous saurez que partout où vous irez, vous serez en relation avec votre âme.
Pour ceux qui sont croyants, vous serez en relation avec la source divine tout le temps.
Quoi qu’il arrive, c’est un peu ce qu’ont fait Bouddha, Jésus, peut être Moïse aussi, et aussi tous les grands maîtres de méditation, comme Ajahn Chah ou comme Krishnamurti par exemple. Ce sont des êtres qui ont choisi la voie de l’amour.
Pour ça, ils étaient toujours connectés à la source. En tout cas, à leur source, à la source divine en eux. Et les choix qu’ils faisaient étaient toujours pris en fonction de leurs valeurs les plus élevées comme la contribution, la compassion, le don de soi, l’amour, et ne dépendaient pas des plaisirs soudains ou des instincts . En tout cas leurs choix n’étaient surtout pas pris en fonction de leurs craintes.
Alors, comment repérer lorsque l’on choisit la voie de l’amour ? Il est clair que vous et moi, nous le savons. Nous savons, lorsque nous faisons un choix, si nous sommes dans la voie de l’amour ou la voie de la peur. Mais encore lorsque nous émettons une pensée, une pensée d’amour ou une pensée de peur. Nous le savons au fond de nous.
En général, la première pensée qui vient, c’est la pensée de notre intuition, la partie de nous la plus profonde, reliée à notre âme. C’est cette petite voix qui est connectée en direct avec la source divine.
Mon maître en méditation, m’a dit un jour : « Il faut s’immerger de lumière cosmique, car il n’y a pas de plus haute valeur d’amour que la lumière cosmique ».
Et ce que faisait surement Jésus, Bouddha et les autres, tous les mots qu’ils prononçaient, les paraboles, les citations étaient remplis de lumière cosmique. On voit bien qu’ils étaient empreints d’amour. Et pourquoi étaient-ils empreints d’amour ? Parce qu’ils n’avaient pas peur.
Ils n’avaient pas peur de dire : « Lève-toi et marche ! » Pas peur non plus de venir toucher l’autre et ils savaient qu’ils allaient soigner.
Aucun n’étaient magiciens. Ce n’était pas non plus des surhumains. C’était des êtres qui avaient compris, qui avaient saisi le fait que vivre dans la voie de l’amour en permanence était la seule façon de pouvoir être ce que l’on est et la seule façon de pouvoir aider son prochain. Ils étaient dans la voie de l’amour en permanence.
J’ai rencontré des maîtres comme ça aussi en Inde lorsque je suis allé à l’ashram de Shivananda, et aussi à l’ashram de Satia SAI baba . Puis encore, lorsque je suis allé à Dharamsala rencontrer des moines tibétains.
Ces êtres baignaient dans l’amour, du matin au soir.
Lorsque j’étais en Israël aussi, j’ai rencontré un rabbin qui étudiait la kabbale. De la même façon, quand je l’ai rencontré, il était plongé dans l’amour. Ces mots étaient purs. Ses yeux brillaient.
Et ceci n’a rien de surhumain ! Ils avaient une vie d’êtres humains. Ils avaient une vie professionnelle, ils gagnaient leur vie et avaient aussi une vie mystique, comme tout un chacun devrait avoir, pour aller de plus en plus vers l’éveil de soi et la paix du coeur.
Ces êtres-là, avaient ce point en commun, c’est qu’ils se connectaient toujours à leur valeur la plus haute en termes d’amour, et choisissaient toujours l’amour.
Lorsque l’on crée l’énergie de peur, tout ce qui s’ensuit est une énergie de peur.
Si dans votre couple, par exemple, vous sentez qu’il y a des conflits. Si vous ne pouvez pas dire à votre partenaire ce que vous avez à lui dire, que vous ne savez pas comment réparer les choses, que vous ne pouvez pas être vous-même, qu’est-ce que vous faites en réalité ?
Vous créez ce qu’on appelle un égrégore de peur dans votre couple, et votre couple sera toujours dans la peur.
Alors que si vous osez être vous, vous pouvez dire non ! Maintenant, c’est fini ! Vous exprimez ce que voussentez au fond de vous, peut-être même le besoin de partir, divorcer…
Quoi que vous fassiez, faites-le dans l’amour, C’est-à-dire en accord avec vos valeurs et votre intuition première. Ainsi, vous allez créer une énergie d’amour et l’autre va la sentir, l’autre va vous entendre. Mais avant toute chose, il va entendre quoi ? L’amour qui est en vous ? Il va entendre cette force qui est en vous.
Il y a un mantra que j’affectionne, puisque je me le répète sans cesse c’est : « Rien ni personne ne peut atteindre l’intégrité de l’être que je suis. » Parce qu’on ne peut pas être mieux que baigner dans l’énergie de l’amour.
Pour conclure, je vous invite à revenir à vos pensées, à vos émotions, votre corps. Si vous êtes dans la voie de l’amour, ou si vous êtes dans la voie de la peur, vous allez le ressentir.
Revenez à votre intuition. C’est cette petite voix, la toute première, celle qui est en silence, qui vous dit oui ou qui vous dit non et suivez-là. Ayez confiance dans cette voix.
Plus vous allez collaborer avec cette voix, plus vous allez être dans la voie de l’amour et plus vous allez voir que l’amour va s’étendre, s’étendre et s’étendre encore autour de vous.
Lorsque vous vivez dans la voie de l’amour, vous allez rencontrer des personnes qui vous aiment. Vous allez être en relation avec des gens que vous aimez, à qui vous allez pouvoir apporter votre soutien, apporter votre amour.
Les personnes qui vivent dans la voie de la peur vont vous fuir. Elles vont même vous fermer les portes, couper court avec vous. Parce que vous allez rayonner cette lumière d’amour qu’elles ne pourront tout simplement pas réceptionner, parce qu’elles vivent dans la peur.
Rejetez aussi les informations qui font peur. Fermez les réseaux sociaux lorsque vous lisez des choses catastrophiques ou en tout cas, qui ne sont pas en relation avec ce que vous désirez maintenant.
Rejetez les vampires d’ambition et puis emmagasinez, comme dit mon maître de méditation, de la lumière cosmique, autant que vous pouvez, en fermant les yeux, en respirant le Prana dans l’air, en respirant l’amour à pleins poumons et embrassez les gens que vous aimez.
Prenez votre chéri(e) dans les bras tous les jours avant d’aller au travail. Faites vos actions avec amour, faites votre travail avec amour, trouvez quelque chose à aimer dans votre travail, avec vos collègues.
Et surtout, choisissez toujours la voie de l’amour !
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]]>Lorsqu’on vous pose la question Qui êtes-vous ?, que répondez-vous ? Avez-vous réellement une idée claire sur la nature de votre identité ? Comprenez-vous / Discernez-vous votre chemin de vie ?
Maintenant rappelez-vous le nombre de fois où, au cours de votre vie, vous aviez été malheureux ou passiez des moments difficiles, et les fois où vous étiez heureux ?
Ne remarquez-vous pas des cycles particuliers … n’avez-vous pas l’impression que votre histoire se répète ?
À partir du moment où vous comprenez votre identité et que vous connaissez vos cycles de chemin de vie, votre réelle nature s’éclaircie alors, vous permettant de vous consacrer uniquement aux choses qui correspondent à qui vous êtes vraiment (et non celles imposées par d’autres). Cette vraie nature et la révélation de l’étape de vie dans laquelle vous vous trouvez amène à dépasser toutes limitations identitaires et de ce fait, découvrir votre talent de vie pour l’appliquer au quotidien et dans la joie.
Quoi de plus authentique et bienfaisant que de vivre de son talent tout en exprimant sa réelle nature, en anticipant ses cycles de malheur/bonheur, pour ne PLUS JAMAIS les vivre ?
– Le premier est la manière dont nous nous présentons au monde, qui souvent diffère de la personne que nous sommes vraiment. C’est l’image que nous voulons donner de nous-mêmes. Les réseaux sociaux en sont un bon exemple : j’ai envie de prendre une photo, je souris pour montrer que je suis heureux, je publie la photo puis j’arrête de sourire. Sans oublier les fois où on prend des photos pour faire voir combien on s’amuse dans un endroit alors qu’on ne s’amuse pas tant que ça … Ça vous rappelle quelque chose ?
– Le deuxième pilier c’est nous-mêmes dans notre intimité. C’est toutes les idées, les histoires, les fantasmes dont nous n’avons jamais parlé à d’autres et qui pour la plupart resteront en nous jusqu’à la fin de notre vie. J’appelle cela notre fil rouge. Seul ce fil rouge représente ce que nous sommes réellement et fait que nous sommes nous. Malheureusement, trop peu de personnes connaissent leur véritable nature. On ne nous l’a pas appris à l’école, ce système éducatif étouffant nos valeurs et par voie de conséquence, a écrit notre destin à notre place, à notre détriment.
– Le troisième pilier c’est nous AVEC les autres. Quelle est votre manière de communiquer, de vivre parmi les autres ? Il y a une différence entre la manière dont on se présente au monde et la manière dont on communique avec les autres. Tandis que la première est souvent biaisée, la seconde est subordonnée à nos conditionnements conscients et surtout inconscients.
Nous évoluons dans des sociétés ou le conditionnement n’a jamais été aussi excessif et puissant. L’agro-alimentaire conditionne nos goûts, les banques conditionnent nos dépenses ainsi que la manière dont nous retirons et transférons notre argent, l’éducation conditionne ce que nous apprenons et ce qu’il ne faut absolument pas nous apprendre, les politiciens conditionnent ce que nous devons faire et ne pas faire … Et aujourd’hui, nous subissons aussi la censure sur ce que nous pouvons dire et ne pas dire.
Tous ces conditionnements conscients et inconscients nous ont modelé puisque nous avons donné notre accord—machinal, involontaire—à leurs règles. Au début, nous créons des habitudes inconscientes édictées par d’autres individus à notre insu, ensuite, ces habitudes nous créent. Elles façonnent notre identité, qui en fait n’est pas notre « moi » réel. C’est pourquoi, analyser la source de ses conditionnements, découvrir son être véritable, et comprendre le processus mental constitue une nécessité pour devenir maître de soi.
Le processus mental n’a qu’une manière de fonctionner :
premièrement je reçois une information – puis j’en crée une image ou une vision – de cette image j’en fait des histoires ou des fictions – je crois ou non à ces histoires – et j’agis donc en fonction de mes croyances.
Si vous ne connaissiez pas ce processus mental de votre vie, eh bien maintenant vous le connaissez ! Et sachez que tout politicien, marqueteur, lobbyiste et autres experts l’utilisent pour vous faire prendre des décisions à votre insu.
À Self-Mastery, nous apprenons à déployer naturellement ce processus mental, à bon escient, de façon à ce que les décisions et tentatives de conditionnements des autres ne puissent plus vous toucher. Cette étape cruciale d’identification et d’intégration permet ensuite de faire tomber les masques qui vous collaient à la peau, qui ne sont rien d’autre que les peurs infligées par d’autres ! C’est ainsi que vous atteignez la maîtrise de soi et là, plus rien ni personne ne pourra jamais atteindre l’intégrité de l’être que vous êtes.
Seulement, vous me direz, nous ne vivons pas notre vie en solitaire et nous sommes sans cesse confrontés aux autres tout le long de la vie : notre partenaire, nos enfants, les amis, les collègues, les inconnus. Et être toujours présent à soi demande une bonne dose de bravoure, n’est-ce pas ? Je vous répondrai : OUI, absolument ! Et pour pallier à cela, il suffit de générer une motivation durable et de faire sortir le génie en vous. Permettez-moi de vous expliquer …
Vous savez pourquoi je me suis mis à écrire dans mon journal intime tous les matins et soirs ? Tout simplement car les génies comme Einstein, Mère Teresa, Nelson Mandela, Steve Jobs et tant d’autres, tenaient chacun un journal intime. Alors je me suis demandé : est-ce que ces génies tenaient un journal car ils étaient des génies ou est-ce le fait de tenir un journal qui les ont fait devenir des génies ? La réponse, je vous la partage : tenir un journal intime éveille la clarté d’esprit et la clarté, c’est la force !
Clarté sur soi, sa vie, les conditionnements sociétaux, ceux appliqués sur vous, mais aussi clarté sur vos besoins existentiels et ceux des autres. Avez-vous conscience que toutes décisions et actions que l’on fait au quotidien sont uniquement subordonnés à 6 besoins que l’on voudrait combler, et rien d’autre ? Vous buvez de l’eau pour étancher votre soif, vous regardez un film pour combler votre besoin de nouveauté, vous suivez une formation pour combler votre besoin de croissance, vous désirez être écouté par votre partenaire pour combler votre besoin de reconnaissance, vous appelez un ami pour passer du temps avec lui ou elle, vous raconter vos dernières aventures … pour combler votre besoin d’amour et de connexion.
En bref, tous nos échanges et agissements sont pour combler un des 6 besoins humains qui sont la certitude, l’incertitude, la signifiance, l’amour et connexion, la croissance et la contribution. Dès lors que vous êtes initié à cette psychologie des besoins, vous êtes alors capable de vous comprendre au mieux. Mais aussi, de comprendre au mieux les autres, ces personnes qui orbitent autour de vous et composent votre univers. Nous vivons effectivement en société et comprendre les besoins d’autrui en vous initiant à poser les bonnes questions et à écouter pertinemment est une des clés de savoir-vivre au sein de nos communautés, entre amis, en couple …
Voyez-vous comment les processus mentaux minutieusement réglés tel des algorithmes dissolvent les croyances limitantes sur ce que vous pouvez faire et ne pas faire. Notre mental est bien plus puissant que ce qui est enseigné à l’école. On a « oublié » de nous apprendre l’essentiel : qui nous sommes, comment gérer nos émotions, comment contrôler notre ego ainsi que nos idées noires. À la place, on nous a appris les choses en les répétant et les répétant, en les apprenant par cœur, juste pour nous conditionner à travailler et travailler sans cesse en répétant tous les jours la même chose et ne jamais penser AUTREMENT.
À ce propos, bien d’autres méthodes d’apprentissage existent ! Au lieu d’apprendre de manière abrutissante comme celle d’apprendre par cœur pour avoir une bonne note si cela fonctionne, nous pouvons utiliser le mode de fonctionnement naturel de notre mental. À votre avis, qui sont les meilleurs apprenants ? N’est-ce pas les enfants ? Tout simplement parce qu’ils sont dans l’imaginaire toute la journée. Notre mental fonctionne par imagerie mentale et plus c’est extravagant, mieux ça fonctionne …
Considérons, par exemple, cette technique dite d’association de base datant de plus de 5000 ans et aujourd’hui reprise par les plus grands coaches en mémoire. Citons Jim Kwik par exemple qui accompagne les plus grands acteurs hollywoodiens et qui la leur enseigne pour leurs scripts. Permettez-moi de vous l’enseigner à mon tour, tout de suite—pas en totalité mais juste la base pour que vous sachiez comment vous êtes aussi un génie. Ce qui vous aurait demandé plusieurs heures ou jours d’apprentissage à l’école, se fera en quelques minutes à peine.
Pour connaitre la technique et l’appliquer sur vous regarder la video (en haut de l’article) à partir de la minute 7.50
La pédagogie d’apprentissage à l’école du système dans lequel nous vivons réduit les connexions neuronales, de sorte que vous faites moins de choses, vous vous sentez incapable, vivez dans le stress et la peur. Vous acceptez ce qu’on vous dit sans même essayer de chercher les causes et les solutions. Heureusement, en pratiquant ce simple exercice qui fonctionne avec n’importe qui de n’importe quel âge, vous découvrez que vous êtes beaucoup plus que ce que vous croyez être. Et ce n’est qu’un début …
Et souvenez-vous : pas besoin d’avoir eu 10/10. Ne recherchez pas la perfection—comme on voudrait nous le faire croire—recherchez juste le progrès dans toute chose. Donc, si vous aviez 2 ou 3 mots au début et que maintenant vous en avez mémorisé 6 ou 7, c’est déjà excellent. Recommencez l’exercice et vous constaterez vos progrès. Mettez en pause la vidéo, reprenez la liste, et progressivement en quelques minutes vous parviendrez à vous souvenir des 10 mots. Sans apprendre bêtement. Et je vous garantis que demain, dans une semaine, dans un mois, un an et plus, vous vous en souviendrez encore.
C’est cela que j’appelle briser les croyances limitantes du « je ne peux pas faire », « je ne sais pas faire », « je n’y arrive pas » … C’est cela que j’appelle les algorithmes mentaux. En utilisant les bons algorithmes, on mémorise au mieux et plus rapidement. Il n’y a aucune limite à ces algorithmes mentaux, tout comme il n’y a aucune limite aux listes mentales pour développer sa mémoire et se souvenir de tout ce que l’on veut se souvenir. Mais aussi, grâce à ces algorithmes, on surmonte ses peurs, gère son stress, contrôle son énergie, communique sans conflit, exerce son influence positive …
Voilà toutes les choses auxquelles vous accédez avec l’académie ou le séminaire de Self-Mastery : devenir vous, exprimer votre nature, vivre pleinement votre existence, les yeux et tous les sens grands ouverts. Vous devenez, comme on aime le dire ici : un Soulminder … les êtres qui ont compris que leur âme et leur esprit incarnés dans leur corps ne pouvaient être contrôlées ni maîtrisées par d’autres, mais bel et bien que par eux-mêmes. Ils ont atteint, comme vous l’atteindrez à votre tour : LA MAÎTRISE DE SOI.
Quel est votre besoins ?
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]]>La routine matinale, ou rituel du matin, c’est une préparation mentale, physique et énergétique pour pouvoir vivre le reste de sa journée en pleine conscience. Pour pouvoir aussi être bien dans son corps, bien dans sa tête, et pour pouvoir être beaucoup plus concentré durant sa journée.
Ça permet en même temps tout simplement d’avoir une meilleure image de soi et une meilleure confiance en soi au quotidien.
Dans cet article nous allons voir comment mettre en place un rituel du matin dans son quotidien et comment faire en sorte que cette routine puisse perdurer dans la journée. De plus, comment faire des micros routines puisque dans nos vies, parfois, on n’a pas une heure où on n’a pas deux heures ou trois heures pour pratiquer une routine matinale.
Alors comment faire une routine matinal pour se préparer mentalement, psychologiquement et physiquement ? Voici mes 10 points important
La meilleure manière de vous parler de la routine matinale, c’est simplement de vous parler de ma routine personnelle. La première chose que je fais en me réveillant, c’est prendre mon cahier de rêves et les écrire.
Une des fonctions du cerveau, pendant que l’on dort, c’est de classer et de bien ranger notre mémoire.
Tout ce que l’on a fait pendant notre journée et la veille, de réorganiser notre mémoire.
Le matin, lorsque je marque mes rêves, ça me permet de comprendre ce que mon inconscient a à me dire, (c’est la première fonction des rêves) et aussi de pouvoir voir ce qui a été organisé la veille et de voir ce que j’ai compris aujourd’hui et comment je pourrais mettre ça en place dans mon quotidien. Ce qui a été finalisé, et ce qui n’est pas encore finalisé. (c’est la seconde fonction des rêves)
Tous les matins, dès que vous vous réveillez, dès que vous ouvrez les yeux, il est très important de noter vos rêves.
(Si vous voulez voir comment noter ses rêves et comment les décrypter, cliquez ici pour pouvoir télécharger un PDF en bas de l’article que j’ai fait à ce sujet.)
Ensuite, je prends soin de mon corps physique puisque je viens de dormir pendant 8 heures. La deuxième chose que je fais, c’est tout simplement d’aller me brosser les dents bien sûr, mais je le fais avec la main opposée.
Les neurosciences ont découvert que lorsque l’on travaille le plus possible avec sa main opposé, comme se brosser les dents, écrire, cuisiner, découper, manger avec la main opposée, bref faire le plus de choses avec votre main opposée, ça permet d’élever et d’éveiller votre mémoire et de forger un petit peu plus votre cerveau.
Donc, vous allez avoir des nouvelles connexions neuronales qui vont se mettre en place que vous ne pourriez pas avoir si vous travaillez toujours avec la même main.
Ensuite je vais prendre une douche froide.
Pourquoi? Parce que l’on connaît les vertus de l’eau froide. Par exemple, lorsque vous vous êtes cogné, la première chose que vous allez faire, c’est mettre un glaçon n’est-ce pas ?
Pourquoi? Parce que ça va avoir un effet anesthésiant. Votre corps va réagir immédiatement qui aura comme effet une forte stimulation des cellules et renforcera votre système immunitaire.
Donc, lorsque vous voulez vous revigorer, mettez-vous sous une douche froide. J’y vais d’un coup. Et puis quand je me lave avec du savon, je le fais avec la main gauche. Vous allez vite prendre la main et vous allez voir que petit à petit, ça va éveiller en vous des nouvelles idées, des nouvelles choses qui vont se mettre en place.
Ensuite, je vais prendre soin de mon esprit. Avant toute chose, je vais boire un verre d’eau. Ainsi je prends soin de mon cerveau et je prends soin de mon corps. Pourquoi ? Parce que pendant à peu près 7 ou 8 heures, je me suis déshydraté, et vous aussi, lorsque vous dormez.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que pendant que l’on dort, le cerveau, lui, continue à travailler. Et donc, il y a de l’énergie qui est dépensées. Alors, comme Je n’ai pas bu, (c’est pour ça qu’on dit un breakfast, c’est à dire qu’on va couper le “Fasting”, on coupe le jeune). Je bois un grand verre d’eau d’un coup à température ambiante.
Juste après, je vais méditer. Personnellement, je médite entre 1h et 1h30 par jours, mais vous pouvez méditer cinq, dix, 20 minutes. 20 minutes c’est une bonne mesure.
Juste avant de méditer, je prends des grandes respirations. Je fais des exercices de pranayama.
Je commence régulièrement par une respiration complète, à peu près un cycle de 6 ou 7 et ensuite suivant les matins, je fais Samavriti, Anuloma viloma ou viloma, Kapalabati etc. Ensuite, je pratique la méditation Anapanasati.
Lorsque j’ai finis de méditer, je fais un thé particulier. C’est un anti-cancer, pour revivifier la mémoire et pour renforcer les cellules. Dedans, je mets du gingembre, du curcuma, du nectar de palme, (vous pouvez mettre du miel aussi si votre régime alimentaire le permet, étant végétalien je n’en n’utilise pas), du citron vert de préférence. Puis je rajoute aussi de la cannelle, des clous de girofle et de la cardamome, et je fais bouillir tout ça
Le temps de boire le thé, je prends mon journal et j’écris. Il a été prouvé que lorsque l’on écrit, ça permet de mettre à plat toutes ses pensées. Ainsi, les pensées deviennent action. Donc, j’écris ce qui me passe par la tête. J’écris la pensée du jour, c’est comme ça que je trouve mes citations que je vous transmets. C’est comme ça que je trouve aussi les idées de vidéos.
Une fois que j’ai fini d’écrire mes pensées, je mets ce que je dois faire aujourd’hui. Trois ou quatre points les plus importants pour moi, c’est à dire que quoi qu’il arrive, c’est ce que je vais faire en premier dans ma journée, comme ça à 10heures j’ai terminé ma journée.
Ensuite, je mets aussi ce que je ne veux absolument pas faire. Ça peut être, par exemple. Je ne veux pas être en colère, ou stresser. Je ne veux pas non plus travailler comme un fou etc. Ça va dépendre de la matinée, de la journée, de mon état d’esprit et de mon humeur.
Et lorsque j’ai fini de marquer ça, je marque mes gratitudes de la journée. Et là, je remercie pour tout ce que j’ai envie de remercier le matin. Alors pratiquement tous les jours je remercie d’avoir une femme extraordinaire et magnifique, d’avoir des enfants vraiment adorables.
Et puis après, ça va dépendre comme par exemple : de pouvoir manger et de pouvoir boire. Quand je suis partie en weekend je remercie pour cela. Mais encore je remercie d’avoir des idées, de ne pas être malade et être en bonne santé. Merci d’avoir des personnes qui m’aiment, de recevoir des courriers, avec de la chaleur et de l’amour, c’est magnifique. Et puis, je remercie souvent aussi mes guides pour ce bonheur.
Ensuite je vais prendre soin du corps. Donc là, je vais faire de l’exercice. Je fais d’abord de l’exercice intense. Ça va être entre 5 et 15 minutes suivant les journées. Par exemple, des abdominaux, travailler les pectoraux, courir, faire des sauts etc. Faire travailler un petit peu le cardio, puis faire travailler tout le corps.
Vous devez savoir que lorsque le corps bouge, le cerveau se développe. Faites un essai ! Vous allez voir simplement que vous allez avoir un autre état d’esprit. Faites le 30 secondes ! Arrêtez votre lecture et sautez !
Maintenant, regardez, observez votre esprit. Observez votre cerveau et vous voyez bien qu’il y a comme un coup de fraîcheur qui rentre dans votre cerveau. Ca donne une sorte d’éveil et une sorte de nouvelle conscience ainsi qu’une meilleure concentration sur ce que vous faites.
Et dès que j’ai fini cela, je fais du yoga pour pouvoir étirer les muscles du corps, puis redescendre aussi dans une forme de douceur mentale. Donc je fais quelques séances de yoga.
Ça va dépendre des jours, Des fois, j’ai vraiment le temps, et puis, des fois, je n’ai pas le temps. Quand j’ai pas le temps, je vais faire en sorte de bouger mon corps vers l’avant, vers l’arrière, des torsions sur le côté et les postures du triangle et une posture renversée, comme une posture sur la tête, par exemple. Et ensuite, postures de relaxation pour pouvoir me reposer et reprendre mes esprits.
Quand j’ai fini le yoga, je vais prendre soin de mon mental et de ma connaissance. C’est à dire que je vais commencer à prendre le temps pour pouvoir apprendre quelque chose de nouveau.
Pour cela, je me fais un smoothie pour le cerveau. J’ai suivis fais une formation très intéressante avec Jim Kwik puisque on apprenait que par rapport aux neurosciences, certains aliments étaient meilleurs pour le cerveau que d’autres. Ce sont des aliments pour générer de meilleures et de nouvelles connexions neuronales et pour renforcer les cellules du cerveau.
Il existe bien sur des médicaments pour ça. Mais il y a eu des expériences qui ont été faites avec certains aliments. Les résultats démontraient qu’Il était possible d’avoir exactement les mêmes effets que ces médicaments et de manière plus naturel.
Donc c’est un smoothie avec de l’avocat, du chocolat noir, du curcuma, de la cannelle, des noix, des myrtilles. Je mets aussi de l’huile de coco vierge, du nectar de palme (ou du miel). J’y introduis des noix, des amandes, des graines de courges et du lait de soja. Parfois du concombre pour le rendre plus Leger. Et puis je mélange le tout et hop, je bois !
Pendant que je bois ce smoothie, je vais simplement prendre du temps pour pouvoir continuer à lire un livre ou apprendre quelque chose de nouveau. En général, ça va durer entre 15 et 20 minutes.
Une fois que j’ai terminé ma routine de lecture, je suis prêt à commencer ma journée. J’ai à ce moment-là une bonne connexion avec mon corps, avec mon cerveau et avec toute la partie énergétique de mon être. De plus, j’ai appris quelque chose de nouveau. Aussi, J’ai donné delà nourriture à mes cellules, c’est à dire de l’oxygène, de l’eau, du thé et puis du smoothies.
Alors vous allez me dire oui Mika mai tout ça, ça prend du temps un rituel du matin. Effectivement, ça prend du temps. Alors j’ai fait un petit essai, j’ai plusieurs versions. J’ai la version normale qui me prend à peu près 3 heures. Je suis quelqu’un qui se lève de très bonne heure, entre 3 heures et demie 4 heures du matin. Donc, quand je me lève à 3 heures ou 3 heures et demie, ça va très bien jusqu’à 6 heures ou 7 heures.
A partir de là, vous êtes prêt à pouvoir attaquer votre journée en étant remonté au maximum. Alors bien sûr, vous avez bien entendu que pendant toute cette durée, il n’y a pas de téléphone. Il n’y a pas d’ordinateur.
Ne vous jetez pas sur téléphone à votre réveil, en tout cas durant au moins la première heure. Parce que vous savez jamais où ça va vous mener lorsque vous allez ouvrir votre mail, ouvrir un message ou regarder un post.
Il suffit qu’il y ait une question qui soit posée ou quelque chose qui vous dérange, et vous allez les garder pendant toute la journée. Donc votre téléphone, prenez le uniquement après avoir fait votre rituel pour vous, de façon à pouvoir commencer et à tenir le cap de la journée.
Durant la journée, je fais des petits rappels du rituel de matin. C’est à dire que lorsque je travaille, je fais des petites pauses à peu près toutes les heures. Pendant ces pauses, je fais des micros méditation d’une minute où je vais fermer les yeux, inspirer fortement pendant une minute et rester vraiment concentré.
Et puis je bois de l’eau et je bouge. Ça prend deux, trois minutes.
Je fais des pauses toutes les heures ou pendant deux- trois minutes, je vais rappeler ce rituel du matin pendant toute la journée, ce qui permet que toute la journée, le corps est reboosté le mental est reboosté, l’esprit est reboostée. Grace à cela, vous avez un regain d’énergie du matin au soir. Jamais plus vous direz : Je suis fatigué de travailler. Car On est pas fatigué de travailler. On est fatigué parce qu’on gère mal sa respiration, on gère mal son alimentation et on gère mal sa condition physique.
Le soir, juste avant de me coucher j’ai mon rituel du soir. Je vais reprendre mon journal et je marque mon rêve du jour, c’est à dire ce que j’ai fait dans la journée. Quelques idées qui me sont passées par la tête. Ce que j’ai réussi à accomplir de ce que j’ai écrit le matin. En règle générale, je suis à 95 et 100% de ce que j’ai dit le matin. Avec les années, je commence à me connaître. Je sais ce qu’il ne faut pas dépasser, ni ne dépasse mes limites.
Le soir encore, j’écris mes gratitudes de la journée. J’ai toujours rencontré des gens, parlé avec des gens. Chaque personne que j’ai rencontrée m’a apporté quelque chose et moi de même.
Puis j’inscris ce que je peux faire pour pouvoir m’améliorer demain. Pour être dans une meilleure condition physique, mentale et énergétique. Et qu’est-ce que je peux faire pour apporter ma contribution aux autres.
Voici un petit « plus »pour finaliser vos rituels du matin. Si vous me suivez, vous connaissez Ajahn Chah, il était un maître thaïlandais bouddhiste de méditation. Il parlait à ses disciples ainsi :
– Si vous voulez apprendre la méditation et apprendre la concentration, la première chose que vous devez faire, c’est d’apprendre à faire votre lit.
Alors quel rapport avec le rituel du matin ? Si vous pouvez faire votre lit le matin à votre réveil, vous allez élever une sorte de confiance en vous parce que vous commencez votre journée avec une victoire, avec quelque chose de bien. Et puis un lit bien fait c’est beau, c’est joli.
Quand vous reviendrais le soir, vous allez voir que votre chambre est propre. Et puis cela crée un environnement sain, en tout cas dans votre chambre. Il faut savoir que votre chambre est quand même un des lieux sacrés pour vous.
Commencez la journée par faire votre lit. Ça vous mettra dans une dynamique beaucoup plus sereine. Ça vous permettra de commencer votre journée avec quelque chose de bien, avec une victoire, et lorsque vous allez rentrer chez vous, vous allez voir que votre chambre est propre pour pouvoir vous accueillir, pour dormir à nouveau. Votre esprit sera alors calme et serein.
J’espère que cet article vous a motivé à commencer un rituel du matin. Et si vous en faites déjà, peut-être de l’améliorer.
Donc, bien sûr, ce n’est pas à reprendre exactement à la lettre. Mais c’est juste pour vous inspirer, pour voir comment est-ce que vous pouvez mettre en place un rituel du matin.
Faites un rituel sur une longue durée, mais apprenez aussi à le faire sur des petites durées ou des micro durées. Ce qui permet que chaque jour, il n’y aura pas d’excuses, en tout cas pour vous, pour pouvoir commencer votre journée pas un rituel matinal.
De la même façon que vous devez tout simplement manger ou que vous devez boire, de la même façon que vous devez aller travailler pour gagner de l’argent, pouvoir payer vos impôts, votre vie, payer à manger, et bien considérer votre rituel du matin comme une action obligatoire que vous devez faire pour pouvoir être en bonne santé mentale, physique et énergétique.
Ce qui vous permettra de vivre sûrement plus longtemps, de vivre en meilleure santé, de vivre joyeux et de partager de l’amour et de la contribution autour de vous.
Mika
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La sensibilité vient de l’intérieur de nous-mêmes. C’est quelque chose qui part du cœur, qui part du plus profond de nous-mêmes. Elle prend sa source dans notre soi, dans notre âme la plus profonde, et ensuite, elle peut soit être augmentée ou soit être diminuée par rapport à nos pensées et à nos idées.
On peut avoir une forme de sensibilité qui commence à grandir. Et puis, la pensée que l’on va y mettre dessus va soit l’augmenter, soit la diminuer.
Par exemple, à un moment donné, vous êtes sensible à un paysage de la nature que vous voyez, ou tout simplement à un animal que vous voyez. Vous allez avoir cette sensibilité, qui va grandir en vous.
Prenons le cas de la nourriture. Ça va être facile à comprendre pour tout le monde. Vous êtes en train de manger un steak. Un bon steak ! Et puis un moment donné, vous avez une sensibilité qui est en train de naître. Et là, vous pensez à l’animal qui a été tué pour ce steak. A un moment, vous avez une pensée qui va faire grandir cette sensibilité. C’est dire que vous avez pensé à l’animal, à l’enfant, à la mère à qui on a enlevé son petit etc.
Cette sensibilité peut grandir jusqu’à ce que vous décidiez de rejeter le steak et de ne plus en manger. Ou, à l’inverse, si une autre idée vient, ou une autre pensée qui dit : « Oui, mais bon, c’est normal, il faut que je me nourrisse comme ça. J’ai besoin de viande et en plus moi je le prends chez le boucher du coin qui cultive, fait vivre et tue lui-même ses animaux. De plus il les tuent bien, donc ça va. » Cette autre idée va atténuer votre sensibilité.
La sensibilité qui prend sa source dans le soi de part nature, est toujours quelque chose qui est lié à l’amour de … L’amour de soi, l’amour de ce que l’on regarde, à l’amour des autres et à l’amour du monde en général. Ce sont nos idées et nos pensées qui vont faire vaciller cette sensibilité. C’est quelque chose qui ne s’apprend pas, c’est quelque chose qui se cultive.
Pour ma part, la manière la plus rapide de cultiver sa sensibilité, c’est la méditation et l’observation.
La méditation pourquoi?
Parce que lorsque vous méditer, vous êtes en relation avec vous-même. Et puis, vous êtes aussi en relation avec le monde qui vous entoure. Vous êtes en relation avec le divin en vous et à l’extérieur de vous. Donc, lorsque vous méditez, vous élevez votre sensibilité.
Si vous faites la méditation Anapanasati par exemple, vous observez aussi vos pensées. Donc vous arrivez à percevoir avec le temps quelles pensées dirigent votre sensibilité, quelles pensées les élèvent, et quelles pensées la diminuent.
C’est comme ainsi que vous faites des transformations dans votre vie et que vous grandissez intérieurement.
L’observation, pourquoi ?
Parce que lorsque l’on observe les choses autour de nous, on peut rentrer dans ces choses. Lors d’un séjour à Jepara sur l’ile de Java, je parlais avec un groupe de musulmans, des jeunes qui me demandaient comment méditer, puisqu’ils savaient que je pratiquais la méditation.
Je parle avec eux et ils me demandent de quelle religion je suis.
Je leur réponds que je n’ai pas de religion particulière. Par contre, j’ai étudié énormément de religions. Je leur explique mon point de vue sur la religion tel un système de contrôle auquel ils acquiescent d’une certaine façon.
Ensuite, je leur parle de sensibilité et je leur demande :
– Avant la prière, quand vous faites les ablutions, le “wudhu“, que vous vous lavez les pieds, les mains, le visage … Où est-ce que vous êtes au moment où vous le faites ? Est-ce que vous êtes en train de penser à ce que vous allez faire juste après? Est-ce que vous êtes présents là maintenant à ce que vous faites ?
– Effectivement. Ils me disent qu’ils n’étaient pas présents, qu’ils étaient en train de penser à pleins de choses.
– Quand vous priez et que vous entendez les chants musulmans où est-ce que vous êtes là aussi ?
– Des fois, j’entends le chant, des fois, je demande des choses à Dieu ou des fois, je suis en train de penser à autre chose.
– Et quand tu demandes des choses à Dieu. Que ressens-tu intérieurement ?
– Je suis rempli d’amour.
– Et est-ce que cet amour tu peux la transporter dans ta vie, ou est-ce que tu l’élimines dès que tu as finis ta prière ?
– Et bien non, une fois que c’est fini, c’est fini ! J’ai demandé ce que j’avais à demander, et puis Dieu va faire son travail.
Cela serait bien si ça pouvait être comme ça … Et donc, en parlant, à un moment donné, il a compris que la sensibilité qu’il avait en cet instant, l’amour de lui-même, qu’il avait là, qu’il élevait, était bel et bien ce qu’il nommait Dieu. (Entre parenthèses on pourrait dire que Dieu est un symbole, qui élève notre soi, notre amour de nous-mêmes, et Satan est un symbole qui grandit notre ego).
Ensuite je lui pose cette question :
-Cette sensibilité, est-ce que tu as pu la faire grandir ? Est-ce que tu as pu l’élever durant le reste de ta journée. ?
– Non. Je laisse Dieu faire son affaire.
Plus on passe du temps à s’intérioriser, à observer la nature, à observer les choses, à observer ce que l’on mange, d’où est-ce que les choses viennent, comment est-ce que la nourriture arrive dans nos assiettes, à observer ce que l’on achète, d’où cela provient et pourquoi est-ce qu’on a utilisé ceci ou cela, plus on élève notre sensibilité aux choses qui nous entourent et donc à la relation qu’on a à ces mêmes chose.
Alors c’est difficile aujourd’hui c’est vrai. D’ailleurs le titre de cet article s’appelle sensibilité, perdition et confusion. Pourquoi?
Parce qu’on vit une époque où on n’a jamais eu autant d’informations en très peu de temps et on est submergé d’informations. On a trop d’informations, et comme nous avons des informations qui se contredisent toutes, il n’y a pas une seule information aujourd’hui qui est réelles. Chaque information est subordonnée à la personne qui l’envoie, des lobbies, des gens qui veulent faire bonne figure, qui se trompent, des gens qui croient que c’est une vérité puis la postent, la partagent, et puis, qu’ils s’aperçoivent que c’est faux.
Bref, chaque information se contredit, année après année. Donc, on est dans une sorte d’environnement où on ne peut plus poser nos croyances.
Prenons l’exemple du climat. On voit bien que c’est en train de se déchaîner. Et puis, d’un seul coup, il y a des scientifiques du monde qui disent mais attention, c’est normal, c’est déjà arrivé. Ça arrive régulièrement tous les 550 ans.
Ne nous inquiétons pas, la terre a toujours survécu. Et d’autres scientifiques disent oui, mais on a eu beaucoup plus que ça à l’époque carbonifère, où il y avait des montées de carbone et la terre a survécu. (Nous non, bien sûr).
Et puis il y en a d’autres qui disent que le climat c’est une blague. Les climato-sceptiques comme Trump, par exemple, qui disent non, c’est un canular pour nous faire peur.
Et puis, il y a ceux qui y croient, qui disent oui, effectivement, il y a un vrai problème climatique qui est dû à l’être humain. Et encore d’autre qui vont dire : NON ! ce n’est pas dû à l’être humain, c’est dû à la nature elle-même.
Au milieux de tout ça, comme ni vous ni moi ne sommes scientifiques et n’avons aucun points de repère très précis, on ne peut que faire confiance … à rien, pour la simple et bonne raison que dès qu’on va lire un article ou voir une vidéo, peu importe la personne qui se trouve derrière, on ne sait pas quelles sont ces sources et on ne sait pas sur quoi elle s’appuie véritablement.
Pour qu’un article puisse être cohérent, il faudrait qu’on ait en même temps l’article et toute l’étude qui a été faite derrière. Puis pouvoir juger par nous-mêmes. Mais c’est impossible. Aujourd’hui, on n’a pas accès à ça, donc on est livré qu’à nous-mêmes, que ce soit pour le climat, que ça soit pour les crises financières, pour la déforestation, pour les maladies, pour la nourriture. On est livré qu’à nous-mêmes, donc on est livré à un retour à notre sensibilité.
Nous vivons une époque qui est absolument formidable, c’est une époque qui pousse l’humain, (en tout cas, ceux qui veulent vraiment sortir de cette norme, de cette société qui est en train de nous rabaisser, de rabaisser les esprits et les cœurs).
C’est une époque où pour toutes les personnes comme vous, comme moi, que j’appellent les Soulminders nous permet de vraiment devenir des « hors leur loi ».
Ces mot pour moi, sont vraiment importants. « Hors leur loi », puisqu’il y a la loi, la loi, l’univers pour lequel je m’inscris. Et puis il y a la loi des lois systémiques qu’il convient de bien comprendre et ne pas se faire illusionner. C’est de cette dernière qu’ils convient de devenir Rebel.
Nous faisons partie de ces gens, qui ne voulons plus aujourd’hui tout accepter comme ça de but en blanc. Donc, on vit une époque formidable où on a la possibilité, par cette confusion qui règne autour de nous, par ces informations qui nous montrent à quel point on a été manipulés depuis notre enfance, par toutes les connaissances que l’on a aujourd’hui, qui nous montrent à quel point ce que nous mangeons est odieux et même néfaste à notre santé physique, à notre santé mentale et spirituelle. Que l’argent est une illusion, la religion un système de contrôle et que notre système est un mensonge.
On a tous les atouts pour faire un grand bond en avant et sortir de ce système aliénant pour j’espère reconstruire une unité grandissante d’amour, de paix, de relation durable et d’aide à autrui.
Nous, en tant qu’êtres humains, nous sommes des êtres merveilleux. Nous avons cette possibilité aujourd’hui, dans cette zone de vie, de revenir à notre sensibilité. Et c’est cette sensibilité que je vous invite à continuer d’aller à la rencontre chaque jour dans vos méditations, dans vos actions de vie quotidienne, parce que cette sensibilité vous permettra de savoir quelle est votre véritable chemin.
Vous allez pleurer, vous allez rire, vous allez avoir des doutes intérieurs, mais quand vous vous connectez à vous-même, vous savez exactement où aller parce que la seule personne qui sait exactement ce que vous devez faire, ou vous devez le faire, quand vous devez les faire, comment vous devez le faire et pourquoi vous devez le faire, c’est vous et personne d’autre.
Nous avons tous les clés en nous-mêmes. Il n’y a aucun coach, aucun gourou qui pourra vous dire quoi faire. Par contre, effectivement, moi-même je suis l’enseignement d’un enseignant spirituel, et il ne me dit pas ce que je dois faire.
Il me montre des chemins et il me dit : « C’est à toi de choisir d’y aller ou ne pas y aller, tu fais comme tu veux. »
Et quand ça résonne, je vais le voir. Et lui dit que ça a résonné ou pas. Il me demande toujours : “Alors, qu’est-ce que t’as vu ? Qu’est-ce que tu as ressenti ? Qu’est-ce que tu as entendu ?”
Si vous prenez conscience que cette sensibilité, c’est votre guide, alors vous allez pouvoir vaincre toutes les armées qui viennent vous assaillir, toutes les peurs qui tombent sur vous et toutes les craintes que vous pouvez avoir sur un futur incertain.
Il n’y a jamais eu de futurs certains. Le sens du mot futur par lui-même est incertain. Donc, le futur certain n’a jamais existé et notre vie est incertaine puisque nous ne savons pas qui nous sommes, d’où nous venons, ce que nous faisons ici ou nous allons.
Cette incertitude a toujours été présente. Aujourd’hui, elle est un peu plus présente parce qu’on en parle, parce qu’il y a des milliers de personnes qui le montrent sur les réseaux sociaux. Mais ça a toujours été comme ça et c’est pour ça que c’est une chance.
On vit dans une ère de l’existence qui pousse l’humain à devenir lui-même. Et donc, je vous invite à rester vous-même.
Nous sommes des êtres formidables, des êtres intelligents, riches. Nous sommes des êtres de cœur. Voilà ce que nous savons partager. On nous a enlevé nos richesses, on nous a enlevé notre ouverture de cœur, on nous a enlevé nos pouvoirs spirituels par une éducation qui a été formatée.
Et si vous faites ce que vous faites, tous les cheminements psychologiques et spirituelles que vous faites, ce n’est pas pour rien. C’est tout simplement parce que vous avez compris que vous êtes autre chose qu’un robot ou un automate. Vous le savez intérieurement et personne ne vous l’a dit.
Pour conclure, suivez votre chemin. Gardez et faites grandir votre sensibilité, car elle seule vous donnera la voie à suivre.
Mika
La symbiose du couple :
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]]>Connaissez-vous l’aveugle et le paralytique qui est en vous ? Non ? Aujourd’hui nous découvrons ensemble quels sont leurs freins mais aussi leurs moteurs, une connaissance vitale pour un fonctionnement sain de toutes nos parts humaines …
C’est l’histoire d’un aveugle et d’un paralytique qui comparaissaient devant un tribunal pour avoir volé des pommes d’un pommier poussant sur un terrain qui ne leur appartenaient pas. L’aveugle dit au juge : Monsieur le Juge, je ne peux pas avoir volé ces pommes puisque je ne vois pas. Je ne savais même pas qu’elles étaient là … Ensuite, le paralytique dit aussi : Monsieur le Juge, je ne peux pas avoir volé ces pommes puisque je ne peux pas marcher. Comment aurais-je pu grimper là-haut ? Le juge décida donc de relaxer les prévenus, estimant en effet que ni l’un ni l’autre ne pouvaient avoir pris les pommes.
Au moment où ils sortaient de la salle d’audience, un juge un petit peu plus avisé les héla : Mais attendez … pris séparément, c’est sûr qu’aucun des deux ne peuvent avoir volé ces pommes. Par contre, si le paralytique monte sur les épaules de l’aveugle, l’un palliant aux handicaps de l’autre … ? Je pense que vous connaissez tous cette fable. Mais savez-vous exactement ce qu’elle représente pour nous et en chacun de nous ?
L’aveugle, c’est notre cœur. Le cœur effectivement ne voit pas, d’où l’expression bien connue, L’amour est aveugle. Par contre, du cœur jaillit tout notre élan pour galoper, sauter, grimper tout en haut d’une montagne (et pas seulement aux pommiers). Quand on fait les choses avec le cœur, elles sont animées par ce qui est profondément ancré en nous : nos vraies valeurs, notre véritable nature. Lorsque le cœur entre en action, rien ne peut nous arrêter.
Imaginez que nous sommes en amour pour quelqu’un et devons faire des kilomètres pour aller la ou le retrouver. En effet, nous irions sans plus tarder et nous serions prêts à ne pas voir toutes les conséquences que cela pourrait engendrer autour, puisque c’est notre cœur qui parle. Notre cœur est aveugle, mais à partir du moment où nous faisons les choses avec, nous sommes toujours en congruence avec nous-mêmes : être en accord avec ce que l’on pense, ce que l’on dit, ce que l’on fait. N’est-ce pas la plus belle des libertés ?
Le paralytique en nous, c’est l’intellect. Mais bien qu’il ne puisse pas marcher, lui peut voir ce que le cœur ne peut pas. Avec notre intellect, nous analysons, faisons des statistiques, projetons dans le futur. Et lorsque nous mettons des actions en place en se fiant uniquement aux plans de l’intellect, c’est comme s’ôter une par de nous-mêmes : le cœur. De cette manière, nous perdons toute congruence avec notre être véritable et nous n’allons dans aucune direction qui nous rende heureux.
Vous l’aurez compris, unir l’aveugle et le paralytique en soi fait de nous un être complet. C’est-à-dire que pris ensemble, le cœur et l’intellect nous permettent de réaliser des choses merveilleuses. Avec la capacité de poser sur papier les connaissances acquises par le passé, les projections dans le futur, puis de les intégrer à l’amour qui nous anime, celui qui anime également notre part la plus profonde et spirituelle, nous nous élevons vers l’être que nous aspirons à devenir.
Ces deux aspects font partie de l’expérience à vivre. S’élancer uniquement avec le cœur, cet amour qui rend aveugle, peut faire qu’un jour nous nous réveillions avec de grosses surprises pas forcément agréables. Et d’un autre côté, penser que seule la connaissance permet de concrétiser nos grandes aspirations, c’est risqué puisque tôt ou tard nous nous apercevrons qu’il y manquera l’essentiel : notre nature profonde, nos valeurs authentiques …
Quoi qu’il en soit, souder le cœur et l’intellect, l’amour et la connaissance, c’est à mon sens la seule manière d’atteindre la maîtrise de soi, de partager le meilleur de nous-mêmes avec les gens qui nous entourent …
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Citations en relation à l’article
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]]>Vous êtes-vous déjà demandé si votre âge était si important que ça, au final ? Qu’est-ce que le représente dans notre société ? Je vous parle (pour ceux qui regardent la vidéo) ou je vous écris d’ici (pour ceux qui lisent l’article), Nusa Penida, petite île paradisiaque située à 35 km de Bali, pour voir ensemble avec vous les différentes formes d’âges, qui n’ont rien à voir avec ce que l’on nous a appris à l’école !
C’est celui que nous avons, je dirais, selon les conventions : puisque nos sociétés modernes ont décidé qu’une année de calendrier s’étendait 365 jours, nous avons donc un an de plus tous les 365 jours. Ce qui n’est pas toujours avantageux, puisque si nous avons 40-45-50 ans et que nous nous trouvons devant un chef d’entreprise un peu coincé d’esprit … eh bien il pourrait ne pas nous prendre tout simplement à cause de notre âge, celui marqué sur nos papiers.
Par contre, si nous faisons partie « des jeunes » selon la société, de la même façon ces mêmes embaucheurs pourraient nous payer moins cher ou ne pas nous prendre non plus. Pourtant, vous savez autant que moi combien l’âge conventionnel ne représente pas du tout la valeur de notre être, ni nos capacités mentales ou encore émotionnelles. Cela représente juste un nombre, ou plutôt, nous nous sommes laissés convaincre par des chiffres qui en rien ne nous caractérisent !
À l’inverse du conventionnel, l’âge physique peut être maintenu plus longtemps (je ne parle pas des chirurgies esthétiques qui elles, le transforment). Ce n’est pas tous les 365 jours qu’il va changer puisqu’il correspond uniquement à vos aspects corporel et extérieur. Il est plus représentatif de la manière dont nous vivons. Comment nous nourrissons-nous, buvons-nous, faisons-nous du sport ? Tout cela va se refléter sur notre physique, notre corps, notre visage, notre sourire et autres.
Nous avons tous déjà dit à quelqu’un, ou quelqu’un nous a sûrement déjà dit : Ah bon, t’as 50 ans, ou 20 ans, mais t’en paraît plus, ou mais t’en paraît moins … L’âge physique est donc quelque chose que nous pouvons prendre en main, c’est nous qui décidons de notre âge physique, à l’inverse de l’âge conventionnel déterminé par les normes.
Comment construit-on son âge mental ? Premièrement, dans la manière dont nous allons apprendre des choses et emmagasiner les informations. Nous avons aussi conscience que l’apprentissage c’est un mouvement perpétuel qui continue bien au-delà de nos années scolaires ainsi qu’universitaires. Donc, comme l’âge mental se manifeste dans la façon dont nous nous éduquons, nous aurons tendance à nous initier, certains inlassablement, que ce soit en autodidacte ou par le biais de séminaires et autres formations particulières.
Vous l’aurez compris, l’âge mental est aussi celui de responsabilité, celui avec lequel nous intéragissons et communiquons avec nos partenaires, nos enfants, nos collègues etc … Il est fréquent d’entendre dire : Ce gars il a 40 ans mais 2 ans d’âge mental … Et c’est vraiment ce que l’âge mental représente, c’est-à-dire qu’il n’est pas en rapport avec l’âge conventionnel mais plutôt avec la façon dont nous nous incarnons dans notre vie, la responsabilité que vous prenons face aux choses, aux autres, mais aussi envers nous-mêmes.
Il arrive à un certain moment de notre vie : lorsqu’on prend conscience de notre mortalité, on va vraiment le développer. Il agit sur notre capacité à aimer, à donner de nous-mêmes, de l’amour. Combien de fois par jour aimons-nous les gens que nous rencontrons ? Combien de fois par jour manifestons-nous notre amour, notre empathie ? Plus nous sommes âgés en âge de cœur, plus au quotidien nous avons tendance à faire don de soi, à offrir de nous-mêmes, aussi à regarder autrui avec compassion voire indulgence. Voilà, c’est une question que je vous pose : Quel âge a votre cœur ?
Celui-ci est bien particulier puisque c’est celui qui commence lorsque nous nous posons la question du sens. On va dire, c’est à ce moment-là que nous prenons un an. Et plus nous rentrons dans notre quête spirituelle, plus nous rentrons dans l’introspection, plus nous rentrons dans l’analyse de soi et des autres, plus notre âge d’esprit s’élève. À ce moment-là, nous parlons alors d’éveil et cet d’âge est donc en rapport avec ce que nous allons mettre en place pour répondre à notre vocation ou nos inspirations profondes, par exemple.
Certaines personnes n’ont pas d’âge d’esprit, dans le sens où elles n’y sont pas encore nées, n’ont pas encore fait le pas de l’intériorisation. C’est un chemin spirituel et Paulo Coelho appelle ces personnes les guerriers de la lumière. Bien qu’il semble solitaire, ce chemin nous rapproche des autres mais aussi d’une vie porteuse de sens. Et vous, êtes-vous déjà né à votre âge d’esprit ?
Pour l’âge de l’âme, il faut bien sûr croire en la réincarnation. Par exemple, lorsque nous arrivons sur Terre, nous pourrions très tôt avoir certaines tendances à aller vers des directions qui en général sont spirituelles. En plus d’avoir un éveil d’esprit et un éveil de cœur notables, on arrive aussi à apprendre les choses plus facilement, à communiquer avec les gens plus facilement … Bref, si vous voulez c’est l’âge de votre âme qui a traversé et traversé les incarnations qui va faire que vous êtres peut-être une vieille âme ou une jeune âme. Nous en reparlerons d’ailleurs dans une autre vidéo, puisque en fonction de votre âge d’âme, vous arpenterez une voie particulière …
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Citations en relation à l’article
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]]>L’article Mode de vie : êtes-vous thermomètre ou thermostat ? est apparu en premier sur Blog de Soul in a Mind.
]]>Bonjour, je m’appelle Mika Denissot, je suis le fondateur de Soul in a Mind, et aussi le fondateur de 2 académies, Self-Mastery et Émergence Spirituelle, je me trouve aujourd’hui sur l’îlot de Nusa Penida près de Bali, je vous invite à cliquer sur la vidéo pour voir ce petit coin magnifique que l’on nomme Diamond Beach … Mais surtout, en ce lieu ensoleillé, c’est l’occasion pour parler plus en profondeur de nos modes de fonctionnement au quotidien : êtes-vous thermomètre ou thermostat ?
D’abord, qu’est-ce qu’un thermomètre ? C’est le petit appareil dont la fonction première en général est de nous indiquer la température. Donc, il reflète la température intérieure ou extérieure, selon l’endroit où il est placé. Vivre comme un thermomètre, c’est lorsque vos émotions de la journée, votre bonheur, sont assujettis à ce que vous expérimentez sur le moment. C’est-à-dire, que les évènements durant la journée peuvent transformer vos états émotionnels de manière à les assombrir, par exemple, ou les illuminer. Tel un thermomètre, vous virez du froid au chaud, du chaud au froid, influencé par les circonstances autour …
Je vous donne quelques exemples, mais bien sûr vous pouvez en trouver d’autres par vous-même, pour vérifier si vous vivez en mode thermomètre :
– vous avez rendez-vous avec quelqu’un et qu’il n’est pas à l’heure, cela vous irrite pour le restant de la journée …
– lorsque vous lisez un poste sur les réseaux sociaux et le contenu ne vous plaît pas, vous êtes poussé à commenter et rerépondre et recommenter pour avoir raison et faire taire les critiques de vos critiques …
– vous vous sentiez “de mauvaise humeur” sans raison et lorsque vous recevez un appel d’une personne qui vous annonce une bonne nouvelle, et cela vous redonne directement le sourire pendant deux jours, pour revenir ensuite à une certaine morosité …
Bref, aujourd’hui il pleut, il fait froid, cela vous rend aigri. Il fait beau, il y a du soleil, vous êtes radieux. Vivre sa vie comme un thermomètre, vous l’aurez compris, ce n’est pas être maître de son existence ! C’est se laisser happer par les évènements, se laisser entraîner par les vagues en vous, selon les vagues de votre environnement. Aujourd’hui, combien d’entre nous sont passés maîtres en ce mode réaction ou mode réactif ? On les détecte facilement sur les réseaux sociaux, ils y passent leurs journées et leurs nuits à réagir, réagir, réagir à des postes, aux commentaires qu’ont obtenus leurs postes, sans faire avancer la machine non plus puisque derrière un écran on ne va nulle part …
À l’inverse du thermomètre, le thermostat de donne pas la température environnante comme ça ! Mais il a besoin d’une action pour régler, justement, la température que vous désirez à un endroit. Si vous vivez dans un pays chaud, lorsque vous entrez dans la voiture vous allez mettre la température à 17 ou 18 par exemple. Si vous vivez dans un pays froid, vous allez mettre la température à 24 ou 25 par exemple. Donc on voit bien que vivre en mode thermostat c’est décider de la température que vous voulez avoir. Comment ça se reflète dans la vie ?
Lorsque vous recevez une information négative ou positive, expérimentez une chose désagréable ou agréable, rencontrez des gens qui ne sont pas sur la même longueur d’onde ou des gens qui vous font vibrer, cela ne va pas particulièrement vous affecter. En tous les cas, pas sur toute la durée de votre journée.
Vous allez intégrer l’information qui vous mettra peut-être dans un état de colère, de tristesse, de déception ou autres, vous n’allez pas vous sentir bien. Seulement, vous allez tout de suite gérer vos émotions, d’ailleurs on appelle cela la gestion du stress. Vous recevez un appel d’une personne malveillante ou malpolie ou annonçant une mauvaise nouvelle ? Vous allez digérer l’émotion et vous dire ensuite, par exemple, “cela aussi passera”. Puis, vous continuez votre journée avec joie de vivre.
Être maître de sa journée, tous les jours, c’est être maître de son destin. Voilà tout ce qui fait la différence entre vivre en mode thermomètre et vivre en mode thermostat.
Maintenant, à vous de choisir ! Dans quel mode vous voulez vivre votre vie, votre quotidien ? En règle générale, les personnes en mode action ou thermostat ont le contrôle et le pouvoir sur leur existence : elles mènent une existence relativement agréable, elles sont joyeuses, elles ont souvent le sourire, elles sont en bonne santé physique et mentale, elles ont une bonne santé spirituelle.
Tandis que celles en mode réaction n’ont pas le sourire dès le réveil, elles sont toujours malheureuses, elles sont aigries comme si il y avait toujours quelque chose qui n’allait pas. Ce sont ces personnes qui trouvent toujours quelque chose à pointer du doigt, à redire sur tout … Je vous invite aujourd’hui à déposer votre thermomètre, si vous en êtes un. Si vous êtes un thermostat, bravo et continuez à déterminer la température qui vous convient, où que vous soyez. Parce que vous seul avez cette possibilité de le faire.
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Citations en relation à l’article
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]]>L’article Effondrement – Les 7 nouvelles “religions” : une vision du monde d’aujourd’hui – part 2 est apparu en premier sur Blog de Soul in a Mind.
]]>Dans la vidéo précédente, nous avons pu définir la différence entre les peurs et les croyances. Nous avons également dressé les 4 grandes catégories de peurs et avancé l’algorithme psychologique ou les états d’esprit spécifiques à adopter pour dépasser chacune d’elles. Nous avons ensuite vu que pour mieux gérer la masse-groupe, notre société était construite sur cette émotion de peur. Puis, nous avons clôturé la part 1 avec l’effondrement systémique qui pointe son nez, sur la fin possible de notre humanité selon certains scientifiques et collapsologues.
Cette époque particulière que nous vivons, avec un effondrement systémique certains est accueillie de diverses manières par chacun des 7.5 milliards d’humains qui peuplent la planète. C’est la raison pour laquelle je me suis “amusé” à classer notre humanité en 7 catégories qui—de mon point de vue personnel—représenteraient le monde aujourd’hui … Un peu comme une capture d’écran de l’instant T. Nous allons voir cela de suite mais tout d’abord je vous invite fortement à regarder la part 1 avant de continuer avec celle-ci.
Sans rentrer dans un catastrophisme pessimiste, on peut dire qu’aujourd’hui nous sommes arrivé à un point de non-retour : fonte des glaces irréversible, dégel du permafrost laissant échapper le méthane dans l’atmosphère, augmentation exponentielle du gaz à effet de serre, inondations à répétitions et de manière rapprochée, montée des eaux provocant des érosions rapides et massives ainsi que la disparition des plages comme ici à Bali, écarts climatiques importants de très chauds à très froid, disparition des saisons, diminution de près de 80% de la biodiversité, une démographie en exponentiel et ainsi va la liste que vous connaissez sûrement déjà. Si ce n’est pas le cas, je vous invite à visionner ma playlist sur l’effondrement.
À ce propos, 29 ans en arrière lorsque j’avais 20 ans, on parlait pourtant déjà de l’effondrement. Sauf que personne ne s’en souciait et à l’époque on me traitait d’adepte d’une secte catastrophique tandis que je parlais du l’ère du Poisson et de l’ère du Verseau entrainant ses changements radicaux. Mais aujourd’hui, le phénomène devient visuel et présent dans la chair de chacun d’entre nous. Cela se traduit par des craintes, de l’incompréhension pour certains ou un sentiment d’injustice pour d’autres, et parfois une manière de juger son prochain en rejetant la faute sur lui.
Face à un effondrement systémique imminent, à une potentielle crise financière majeure sans précédent, à une catastrophe naturelle pouvant émerger n’importe où et n’importe quand plus aujourd’hui qu’hier, chacun d’entre nous prend position. Dans ce continuum, ces prises de position ont créé des catégories qui percent doucement et s’affirment de plus en plus. J’ai pu en noter 7 qui ne sont peut-être pas exhaustives mais qui permettent de dresser une carte mondiale des nouvelles “religions” humaines. Voyons-les de suite :
Les sceptiques sont ceux qui nient en bloc les phénomènes climatiques et écologiques actuels et encore moins la théorie de l’effondrement. Et certains—Trump par exemple, pour ne pas citer de nom—appellent même à un complot écologique ou une dictature écologique que certains voudraient nous imposer. Ils nient également un effondrement possible ou une crise financière majeure.
Ainsi les sceptiques sont dans le déni total, et ne veulent absolument pas croire que l’on va dans le mur. C’est normal car ils croient en leur fiction personnelle. Mais ils sont surtout comme des enfants qui se font prendre en train de faire une bêtise et qui disent Non, c’est pas moi, c’est pas moi, non …
Pour surpasser leur peur de leur propre mort, les j’menfoutistes choisissent d’en profiter un maximum pendant qu’il est encore temps. De toute manière, on va tous mourir suite à l’effondrement, alors prenons tous ce que nous avons à prendre avant les autres, en grande quantité … Cette « religion » qui fait totalement abstraction du monde environnant présente une autre forme de déni égocentrique. Bref, les j’menfoutistes sont des bons vivants et accroissent leur bonheur en prenant. Anthony Hopkins dans un de ses films les appelaient « ceux qui prennent ».
La croyance des petipatistes et des petipassifs pour sortir de la peur c’est de se dire qu’il faut continuer à faire le colibri. Ce sont ceux qui pensent qu’aujourd’hui encore, tous les petits pas suffiront à donner un nouveau virage à notre humanité. Ce sont aussi ceux qui pensent qu’il faut absolument vivre dans une sobriété excessive, comme j’ai pu le lire dans un mail privé d’un de mes lecteurs.
Cette « religion » fait abstraction des autres car en restant chacun dans son coin c’est comme si ils se disaient, puisqu’aujourd’hui il y a une prise de conscience mondiale, les compagnies font plus attention. C’est tous ceux qui essaient de se rassurer avec les petits gestes en se disant que c’est OK, ça va, je fais ma part. Cela les légitime alors à juger les autres : si vous avez le malheur de prendre l’avion ou d’aller acheter du pain en voiture, les petipatistes et les petipassifs ne vous rateront pas.
Les survivalistes supportent leur peur par une préparation poussée à l’extrême pour la survie, en préparation à la catastrophe majeure. Selon leur vision de catastrophistes extrémistes, de toute manière tout le monde va s’entretuer alors préparons-nous—et faisons en sorte d’être les derniers survivants, ainsi nous pourrons contrôler le monde. En arrière plan chez le survivaliste, il y a une petite volonté de prendre le pouvoir.
Notons 2 variantes de survivalistes : d’un côté, les survivalistes guerriers qui s’entrainent à la survie tels des militaires de l’extrême et qui attendent presque que cela se produise. De l’autre côté, les survivalistes bourgeois qui ont opté pour le bunker en Nouvelle-Zélande en attendant que les animaux sauvages s’entretuent, pour enfin sortir de leur tanière et contrôler de nouveau le monde.
Les catastrophistes ne prédisent que des catastrophes irréversibles et inévitables. Ils se confortent dans les statistiques, dans les écrits ici et là. Comme ils ne voient pas d’issue, c’est plutôt la vision grise qu’ils transmettent autour d’eux. Seulement, leur vision sombre de l’avenir créé automatiquement visions sombres chez celles et ceux qui les écoutent. Ni méchants ni violents, les catastrophistes sont juste des prophètes de mauvaise augure et cela les rassure : la peur venant, les écoutants s’immobilisent …
Les écologistes virtuels sont passés maîtres dans l’art du greenwatching et du greenposting. Tétanisés dans leur coin, souvent seuls ou éloignés, parfois sans ressource, ils passent leur journée à regarder, commenter et partager sur les réseaux. Leurs croyances s’arrêtent au fait que tant qu’ils partagent l’information, ils contribuent à changer l’humanité et que cette manière règlera les difficultés existentielles auxquelles nous devons faire face.
Ce sont les écologistes virtuels qui vous montreront toujours du doigt. Ils savent mieux que les autres puisqu’ils sont au coeur de l’information et ainsi ils vous jugeront sans filtre. de plus ils vous écriront pour vous dire que vos mails polluent, sans se rendre compte qu’eux-mêmes l’utilisent pour vous écrire. Ils pointeront du doigt votre moto, votre voiture, votre téléphone ou votre T-shirt Nike, en fonction des derniers chiffres et statistiques sortis qui deviendra leur croyance du moment.
Ces 6 catégories, qu’ils soient sceptiques, j’menfoutistes, petipatistes-petipassifs, survivalistes, catastrophistes ou écologistes virtuels, sont dans le déni de la réalité. Ce qui s’exprime via chacune d’elles c’est une volonté de ne pas sortir de sa zone de confort, une volonté de ne pas se remettre en question. La seule croyance que la personne maintient : De toute façon il n’y a rien de significatif que moi je puisse faire.
Les réalistes sont conscients de l’effondrement a venir, de la fin imminente de notre mode de société actuel et ont compris que c’était même une nécessité. Ils sont conscients qu’un changement profond va avoir lieu—qui peut arriver de façon extrêmement brutale ou non—que la société consumériste et industrielle arrive à sa fin, voire même déjà morte, qu’elle est dans sa phase finale d’auto-destruction. Ayant compris et accepté aussi notre interdépendance, ils se rendent compte que ce n’est pas une action par-ci, par-là qui permettra un changement durable, mais une action massive commune.
Par conséquent, les réalistes ne sont pas dans la croyance de quelque chose. Ils élèvent leur conscience au moment présent car ils savent que là où nous en sommes aujourd’hui, rien ni personne ne pourra prédire ce qui va arriver mais qu’un effondrement est innéluctable. . Notre interdépendance est devenue si complexe qu’un simple domino qui tombe peut provoquer une suite non-prédictible. Pour cette raison, les réalistes se reconnectent au réel. Ils comprennent que, oui notre planète est plus importante que notre pays, oui notre humanité est plus importante que l’argent, et oui la réalité du moment présent est plus importante que toutes les croyances.
Intuitifs, ils comprennent que la survie ici n’est plus à sa place dans un paradigme où l’on domine déjà la surface de la planète. Les réalistes savent que ces changements sont inévitables mais ils savent surtout que les futurs potentiels sont infinis, quelles que soient les directions que nous prenons aujourd’hui. De ce fait, ils agissent uniquement pour élever les consciences car ils ont compris que c’était la seule et unique solution.
Enfin, les réalistes savent aussi que nous avons besoin de nous unir, de nous allier, de nous entraider, et que l’heure n’est plus à chacun dans son coin. Ils ont compris que c’était la transmission de vision positive d’un présent et d’un futur multipliant les éveils de conscience qui permettra un nouvel élan, et cela peu importe ce qui adviendra. Ils acceptent ce qui est car seul ce qui est, est réel, et le reste n’est qu’imaginaire.
Comment faire face à tous les phénomènes du monde qui nous arrivent ? Il convient de rester connecté au moment présent, d’observer les faits et de les accepter. En parallèle, faire un travail d’éveil de conscience … Car sans spiritualité, il n’y aura pas de changement positif. Nous connaissons tous la formule d’Einstein : La folie, c’est de refaire toujours la même chose, et s’attendre à des résultats différents.
Depuis 1950 nous agissons de la même manière, en mettant de côté les pouvoirs spirituels de l’être humain. Pire, en les ayant enfouis, enterrés, en collant des étiquettes de sectes, de gourous, de manipulateurs, de sorcières, à toute personne voulant sortir les êtres de l’esclavage psychologique et physique … Mais l’heure est venue à chacun d’être soi, de se réveiller, de vivre son humanité, de suivre son coeur, d’écouter son intuition, de faire table rase des vampires d’ambitions autour de nous et de leurs peurs. Vous les reconnaîtrez, ils vous montreront toujours du doigt.
Merci à Benjamin Casteillo fondateur de New World Together pour les compléments d’informations qui m’ont été nécessaires pour finaliser ces deux vidéos.
Quand à moi, je vous invite à devenir Rebel, soyez “hors leur loi”, suivez votre cœur et votre intuition. Certains vous suivront, d’autres pas, it’s OK ! Et comme le disait Marc Halevy dans son intervention à Bordeaux en 2014 : Laissons les grands dinosaures s’effondrer avec leur ligne rouge et soyons le paradigme montant qui est cette ligne verte. Finalement, aujourd’hui, nous arrivons là où les lignes se croisent. Nous sommes là où ses lignes se bousculent. Ca fait mal, c’est douloureux, mais c’est nécessaire pour avoir un monde qui nous revient. C’est aussi nécessaire pour vivre notre existence et non celle d’un autre.
Alors … Peur ? Croyance ? Ou éveil de conscience ? À vous de choisir …
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